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Nếu tiếng pháp là thứ tiếng khó học nhất về lãnh vực văn học cổ, thì hôm nay, những câu nói của TT Macron , có lẽ cũng cần tra tự điển , một tự điển mới để hiểu thứ văn chương của ngài sử dụng.
Quý anh chị nào thích đọc văn chương tiếng pháp, vào đây đọc thử nhé.
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Caroline Thanh Hương
Face à des élèves de CM2, le chef de l'État improvise
un cours d'histoire et se trompe, provoquant les sarcasmes d'une historienne
sur Twitter, relate Europe 1.
Par 6Medias
Publié le
16/09/2017 à 18:42 | Le Point.fr
En voulant
faire un cours à des enfants, le président s'est fait reprendre...
comme un élève !"/> En voulant faire un cours à des enfants, le
président s'est fait reprendre... comme un élève ! © AFP/ PHILIPPE WOJAZER
Emmanuel
Macron épinglé sur ses connaissances historiques. Pour le lancement
des Journées du patrimoine, le chef de l'État s'est rendu au château de
Monte-Cristo, dans les Yvelines, en compagnie de Stéphane
Bern. Un lieu chargé d'histoire, puisque c'est là que le roi François
Ier a signé la fameuse ordonnance de Villers-Cotterêts, en 1539.
Face à des élèves de CM2, les deux hommes ont alors improvisé un mini-cours
pour expliquer de quoi il s'agissait exactement, rapporte Europe 1.
« Cette ordonnance fait du français la langue officielle. Si nous parlons
tous le français, c'est grâce à l'ordonnance de Villers-Cotterêts »,
commence Stéphane Bern.
Emmanuel
Macron prend alors la parole. « On est tous français alors qu'on
parlait souvent des patois un peu différents. Notre pays s'est fait par la
langue. Le roi a décidé que tous ceux qui vivaient dans son royaume
devaient parler français », raconte le chef de l'État.
« Mésinterprétation de l'édit »
Sauf que
cette version de l'histoire est en partie inexacte, et, sur Twitter,
l'historienne et ex-membre du Parti de gauche Mathilde Larrère n'a pas manqué
de faire remarquer que le président faisait « une mésinterprétation de
l'édit ». « Il dit juste que les actes légaux et notariés seront en
français ! Et plus en latin [donc ça n'a rien à voir avec une lutte contre
le patois]. L'édit, c'est surtout une étape dans l'imposition du pouvoir
royal », s'insurge-t-elle. « Et il aime ça, Stéphane, le pouvoir
royal ! ! ! » poursuit-elle, sarcastique, en faisant
référence aux opinions royalistes du présentateur de Secrets d'histoire.
Et de conclure : « Et ça va vous défriser les gars, mais ce que vous
tentez d'attribuer à François Ier..., c'est la Révolution qui l'impose. »