mercredi 9 novembre 2016

Ngon miệng đi để rồi rước tử thần vào người/ Documentaire: scandales des restaurants Chinois en France



Đằng sau những món ăn được đưa đi bán tại các nhà hàng có gì lạ?

Có thể đây chỉ là một trong những nơi sản xuất lậu, nhưng còn bao nhiêu nơi khác mà chưa ai biết?

Theo chân những vị cảnh sát này tại Paris, hay có thể ở bất cứ nơi nào khác trên thế giới, ai trong chúng ta còn có thể hiểu tiền mồ hôi nước mắt của mình bỏ ra để mua những thực phẩm bẩn thỉu như thế này sao?

Cách duy nhất để khỏi vướng bệnh là tự tay mình nấu lấy thức ăn mình đi mua từ các rau, quả, thịt cá tươi về.

Có như thế chúng ta mới bảo đảm được sức khoẻ của người thân và chính bản thân mình.

Caroline Thanh Hương
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Belleville accueille une importante communauté chinoise constituée de nombreux arrivants dont beaucoup de sans-papiers. Ces immigrés récents s'entassent dans des logements appelés "appartements raviolis". Vivant dans des conditions difficiles, ces personnes subsistent en cuisinant des raviolis pour le compte de restaurants parisiens. Retrouvez Enquête exclusive chaque dimanche sur M6.



Videos, séries et émissions sur M6.fr : Vidéo Enquête exclusive : Belleville : Les appartements raviolis - M6 http://www.m6.fr/emission-enquete_exclusive/videos/11315822-belleville_les_appartements_raviolis.html#ixzz4PT5Ed32W

Tuy vậy, cũng may mắn là chúng ta còn có những người lương thiện bán những thức ăn có nhiều dinh dưởng tốt, chất lượng cao và cách chế biến cũng rất đẹp mắt.


Les Dim Sums font le buzz

Les Dim Sums font le buzz

Les raviolis chinois (ou Dim Sums), débarqués en France dans les années 80 ont eu du mal à se relever de l’atroce réputation qu’ils ont attrapés à force d’être mauvais.  Il faut dire que les raviolis crevettes du comptoir asiatique moyen gagnent parfois à ne pas être regardés de trop près : composition approximative, congélation quasi systématique, pâte collante et trop épaisse (et on ne vous parle même pas des atroces « appartements ravioli qui ont fait le tour des émissions de reportages au début des années 2000).


Les Dims Sums méritent pourtant mieux que cela, et ils reviennent fort heureusement sur le devant de la scène en France grâce à certains talentueux amoureux du genre, lesquels sont nombreux. Car ces petites bouchées variées font l’objet d’une véritable passion à Hong Kong ou à Canton, les deux régions où leur consommation est la plus développée.

Petites œuvres d’art à cuire à la vapeur ou à frire à la minute, les Dim Sums sont aussi beaux que gourmands, et le nombre de recettes est infini : ravioli au poulet et thé noir,
bouchées au curry rouge, boulettes têtes de lions au porc, brioches à la vapeur, et même feuilletés au porc laqué : il n’y a de limite que l’imagination du cuisinier.



Alors ne nous étonnons pas que les coureurs de tendances culinaires en raffolent : c’est beau, c’est bon, ce n’est pas cher et quand c’est fait sérieusement c’est tout à fait sain. Alors rejoignez le mouvement, voici nos meilleurs adresses juste pour vous  !
Le plus branché : Yoom
Le très branché Yoom, auto proclamé « seul vrai restaurant de Dims Sums » de la capitale est situé en pleine rue des martyrs, fief bourgeois bohème du 9ème arrondissement.




































Le succès a été tel que les premiers mois ont été un peu difficiles pour les jeunes propriétaires, dépassés par l’affluence. C’est aujourd’hui un peu plus calme alors c’est le moment pour vous faire votre idée.
Les plus : la très réussie déco contemporaine, les recettes fines et délicieuses
Les moins : un choix limité, pas de vente à emporter
YOOM, 20 rue des martyrs, 75009
Le plus roots : Le Pacifique
On parle beaucoup du XIII ème arrondissement de Paris mais on oublie souvent que Belleville aussi abrite un gros quartier chinois. Dans le coin quelques institutions dont le restaurant « Le Pacifique », réputé pour offrir d’excellents raviolis, parmi les meilleurs de la capitale.



Le plus : l’authenticité, la carte très vaste (qui ne propose pas que des raviolis), le rapport qualité prix.
Le moins : les recettes qui manquent un peu d’originalité
Le Pacifique, 35 rue de Belleville, 75019 Paris
Le plus trash : Nioulaville
Autre institution de Belleville, l’immense Nioulaville est connu pour ses vastes cuisines et pour ses chariots de raviolis frits ou vapeur poussés par d’adroites serveuses dans tout le restaurant. Sur un signe de la main, le chariot s’arrête, on vous ouvre les petites marmites bambous et vous choisissez sur le pouce les pièces que vous voulez déguster. Un coup de crayon sur la nappe pour ne pas oublier d’ajouter le tout à l’addition et c’est parti. Le choix est vaste et les raviolis sont bons – mais attention : la spécialité du lieu est le ravioli à l’aileron de requin, dont on sait que le commerce est une catastrophe écologique. Faites donc le bon choix !
Le plus : le principe des chariots est réjouissant quand on vient d’arriver et que l’on a FAIM avant de passer la commande. A gouter aussi le véritable canard laqué à la pékinoise.
Le moins: le cadre un peu froid, l’impression de vide. La cuisine irrégulière.
Le New Nioulaville, 32 rue de l’Orillon, 75011 Paris



Le plus Fast food : Sum
Ce fast food new style propose des menus dim sums originaux et prèts à la minute, le tout dans une ambiance orientale un peu aseptisée. Pour 9€ vous repartez avec une boisson, un panier de bouchées vapeur et un riz blanc ou une soupe.  C’est franchement bon et ça change du Mac Do.
Le plus : la grande terrasse tranquille
Les moins : le manque de choix dans les recettes de Dim Sums; l’ambiance « asiatique » artificielle mélangeant les codes chinois, japonais et coréen
SUM, 13 rue des Pyramides, 75001 Paris



Le plus secret : marché St Quentin
Notre coup de cœur du printemps ! Voici une adresse insoupçonnable et confidentielle qui va vous faire réviser tous vos préjugés sur les raviolis chinois. Dans ce triste marché couvert du boulevard de Magenta, un comptoir aussi discret que possible annonce « Traiteur Quash ». Une petite dame originaire de Canton s’y affaire. Approchez vous, vous n’en reviendrez pas : petits paquets de toutes sortes, flans en formes de fleurs, friands dorés, champignons farcis délicats, pétales de poivron garnis, brioches à la lavande : le comptoir n’a rien à envier aux grands traiteurs. Les recettes sont toutes originales et faites maisons chaque jour.  Madame Quash vous donnera tous les conseils nécessaires pour les réchauffer et les déguster comme il se doit.

Le plus : le choix, les parfums, la qualité, la joliesse des bouchées : on aime tout !
Le moins : attention le stock est vite épuisé, et quand il n’y a plus rien, on ferme. Pensez donc à prévenir l’avance si vous en voulez une certaine quantité.
Traiteur Quash, marché St Quentin, 75010 Paris

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