vendredi 10 novembre 2017

Khi tổng thống Mỹ đến Asie mang lợi ích cho ai.

Một tổng thống đi đến đâu mang quyền lợi của đất nước họ lên hàng đầu thì đó là vị tổng thống yêu nước , yêu dân không thể chối cãi đươc.
Ngày tổng thống Mỹ đặt chân đến Việt Nam, thì ông sẽ làm gì, gặp ai và sẽ tuyên bố như thế nào.
Trước khi đến Việt Nam , ông đã ký với Trung Quốc những contrats buôn bán ra sao và đã mang lại những lợi ích gì cho nước Mỹ để xoá bớt số nợ mà dân Mỹ đang gánh.
Kính mời quý anh chị theo dỏi bản tin của báo chí pháp, sẽ post thêm những tin tức khác tiếp theo.
Caroline Thanh Hương
 

Trump offensif sur le commerce au sommet de l'Apec

DANANG, Vietnam (Reuters) - Donald Trump a prononcé vendredi un discours musclé sur le commerce dès son arrivée à Danang, au Vietnam, où il participera au sommet de l'APEC, le forum de Coopération économique des pays de la région Asie-Pacifique, prévenant ses partenaires que les Etats-Unis ne toléreraient plus les déséquilibres commerciaux qu'ils déplorent.
Les Etats-Unis sont disposés à signer des accords bilatéraux avec tous les pays de la région "Indo-Pacifique" à condition qu'ils reposent sur "le respect et le bénéfice mutuels", a-t-il dit.
"Lorsque les Etats-Unis engageront une relation commerciale avec d'autres pays ou avec d'autres peuples, nous attendrons de nos partenaires qu'ils respectent loyalement les règles", a-t-il déclaré.
"Nous souhaitons que les marchés soient autant ouverts d'un côté que de l'autre et que l'investissement privé, pas les planificateurs gouvernementaux, investissent directement", a-t-il ajouté.
Donald Trump entend réitérer au Vietnam, quatrième étape de sa longue tournée asiatique, la promesse de remettre les Etats-Unis au premier plan (America First) et de protéger les salariés américains.
Ses propos contrastent avec ceux de son homologue chinois, Xi Jinping, qui l'a reçu mercredi à Pékin, et qui a déclaré à son arrivée à Danang que la mondialisation était un processus irréversible, plaidant en faveur du développement des accords commerciaux bilatéraux.

LA RENCONTRE TRUMP/POUTINE COMPROMISE
Si la Chine entretient un excédent commercial considérable avec les Etats-Unis, le Vietnam, qui accueille le sommet de l'Apec, est également sur la liste des pays qui présentent un excédent que Washington entend réduire.
Ce sommet de l'Apec devait d'ailleurs permettre aux différentes parties représentées dans la négociation portant sur l'accord de partenariat transpacifique de se réunir. Plusieurs responsables ont toutefois déclaré à Reuters que la réunion prévue ne s'était pas produite.
La rencontre envisagée entre Donald Trump et son homologue russe, Vladimir Poutine, semble elle aussi compromise, la Maison blanche ayant affirmé vendredi que leurs engagements respectifs ne permettaient pas que cette rencontre ait lieu.
Un porte-parole de la présidence russe a toutefois affirmé que les deux hommes se rencontreraient "d'une manière ou d'une autre", disant recevoir des "signaux contradictoire" de la part de la Maison blanche.

(Steve Holland et Matthew Tostevin; Henri-Pierre André et Nicolas Delame pour le service français, édité par Marc Joanny)
 
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  • O
    Obiwan
    Obiwan
    il y a 2 heures
    Le président Trump "arrive" et... repart les poches pleines de juteux contrats qui vont renforcer l'économie de son pays, économie en plein redressement depuis son arrivée après les mandats calamiteux de son prédécesseur...!!! C'est cela la "réalité Trump" et non pas les affirmations Franchouillardes que l'on nous distribue depuis des mois...!!! Je pense que plutôt que d'aller inaugurer un musée qui nous aura coûté beaucoup plus que ce qu'il nous aura rapporté, "certains chef d'état" pourrait prendre de la graine de la présidence Trump...!!!
  • a
    alexis
    alexis
    il y a 59 minutes
    trump travaille pour son pays contrairement a nous on a que la geule comme argument

Les premiers pas de Melania et Donald Trump en Chine

Paris Match
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Les premiers pas de Melania et Donald Trump en Chine

Melania et Donald Trump sont arrivés mercredi en Chine, troisième étape de la tournée asiatique du président américain.
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1 est en train de lire
  • P
    Pierre
    Pierre
    il y a 17 heures
    Comme quoi si on croyait tous ces médias anti Trump on pourrait gober naïvement que Mélania s'ennuie tout le temps à Washington
  • J
    Julian
    Julian
    il y a 11 heures
    Quand on sait que le futur de notre planète repose dans les mains de ce pervers narcissique et de ce pantin de cire (jaune) ........Oui je sais elle n'est pas très bonne cette blague... douteuse.....je l'admet par avance
    Alors oui ces deux guignols roulant pour leur propres intérêts économicostratégique, on peut douter de leur volonté d'oeuvrer pour le bien de la terre et de l'humanité
    trump le soi disant isolationniste qui allait d'abord se préoccuper du bien être du peuple américain se révèle être un hawk allié au complexe militaro -industriel US ainsi qu'a la puissante NRA
    Cherchant la confrontation plutôt que le dialogue comme si il s'occupait de business il met notre planète en danger, et même s'il ne le fera pas lui même,il aura sûrement inspiré de futur despote populiste dans de nombreuses régions du monde.
    En face les chinois appairassent presque "fréquentable et raisonnable" c'est dire le séisme des valeurs morale qui s'est opéré en a peine 1 an
    Plus que 3 me direz vous? Le mal est déjà fait quand on voit le nombre de troll et de "looser"qui prennent le parti de la bête de foire qu'est Donald le bonniMENTEUR
  • S
    Sissi
    Sissi
    il y a 16 heures
    elle sait au moins s'habiller et n'est pas la honte de son pays Mélania!
  • c
    calenie
    calenie
    il y a 17 heures
    elle est belle mais s'habille trop long...
  • a
    alain
    alain
    il y a 15 heures
    Je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'un type comme Donald peut bien retenir d'une visite de la cité interdite ......... et quels commentaires il va en faire ........
  • M
    Martine
    Martine
    hier
    Elle devrait changer de couturier les robes de vite en Chine pas terrible
  • a
    alain
    alain
    il y a 15 heures
    et Donald a parlé du Tibet .?

Chine: Ford, en coentreprise, promet 650 millions EUR pour la voiture électrique

Logo Ford le 27 juillet 2015 à Colma, en Californie
Pékin (AFP) - Le constructeur américain Ford a annoncé mercredi l'établissement d'une coentreprise avec le chinois Zotye Auto, et un investissement conjoint de 650 millions d'euros pour produire des voitures électriques sur le premier marché automobile mondial.
Leur joint-venture, dont ils contrôlent chacun la moitié, construira une usine dans la province du Zhejiang (est) et investira 5 milliards de yuans pour concevoir, fabriquer et commercialiser des modèles de voitures individuelles entièrement électriques, ont précisé les deux groupes dans un communiqué.
Cette alliance avait été évoquée dès août, mais a fait mercredi l'objet d'un accord définitif, signé à Pékin par des dirigeants des deux entreprises le jour même où le président américain Donald Trump entamait sa première visite en Chine.
Cette coentreprise, la troisième conclue par Ford dans le pays, "introduira une gamme de petits véhicules électriques sous une nouvelle marque", s'est réjoui Peter Fleet, président de Ford pour l'Asie-Pacifique, cité dans le communiqué.
Les constructeurs automobiles en Chine seront soumis à partir de 2019 à d'ambitieux quotas de "véhicules propres", calculés selon un système complexe de crédits.
Cette perspective a électrisé le secteur, l'équation apparaissant très compliquée pour certains groupes, comme le géant allemand Volkswagen, dont les voitures électriques ou hybrides ne constituent encore qu'une portion congrue des ventes.
Du coup, les constructeurs se précipitent pour forger de nouveaux partenariats avec des groupes chinois -- une obligation réglementaire -- afin de doper leur production de véhicules verts dans le pays, un marché crucial.
Or, à en croire Ford, Zotye Auto, constructeur relativement petit, est "un pionnier sur le segment de l'électrique", avec une hausse de 14% de ses ventes de véhicules entièrement électriques sur les dix premiers mois de l'année (22.500 unités).
Volkswagen s'est pour sa part associé au groupe public JAC, tandis que son compatriote Daimler a choisi le constructeur chinois BYD, l'expert national de la voiture électrique. De son côté, le français Renault avait créé cet été avec son partenaire local Dongfeng une nouvelle coentreprise dédiée à l'électrique.
Ford s'est fixé pour objectif de commercialiser début 2018 en Chine son premier véhicule hybride, et assure que 70% de ses modèles seront disponibles d'ici 2025 avec l'électrification en option.
Le groupe possède déjà des joint-ventures avec les constructeurs Changan et Jiangling Motors, avec lesquels il intensifiera également les coopérations sur le développement de véhicules propres.
Dans un entretien à Bloomberg TV, Peter Fleet a assuré qu'il retrouvera jeudi Donald Trump et le président chinois Xi Jinping, lors d'une rencontre où une salve d'accords commerciaux sont attendus.
Selon Bloomberg, Ford devrait pour sa part confirmer des exportations de 10 milliards de dollars des Etats-Unis vers la Chine sur les trois prochaines années, incluant des voitures et composants pour ses marques Ford et Lincoln.

Trump fait sa com' sur 250 milliards de dollars d'accords commerciaux en Chine

Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le
Le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping, le 9 novembre 2017 à Pékin.
Le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping, le 9 novembre 2017 à Pékin.
afp.com/Nicolas ASFOURI

En Chine ce jeudi, le président Américain s'est gargarisé d'une moisson d'accords commerciaux. Sauf que la plupart des annonces ne concernent pas des contrats fermes.

Il y a encore quelques mois, Donald Trump menait campagne et la Chine était son ennemi numéro un. Dans son viseur, les échanges bilatéraux entre les deux pays et l'excédent commercial chinois, largement en défaveur des États-Unis.  
Depuis, le président des États-Unis a changé de ton. "Président Xi [Jinping, son homologue chinois], merci infiniment pour cette incroyable cérémonie d'accueil. C'était un spectacle mémorable et impressionnant", a-t-il tweeté ce jeudi, accompagnant son message d'images d'enfants en liesse et de militaires au garde-à-vous. 
Si Donald Trump est si content, c'es qu'il a dévoilé le même jour une vertigineuse moisson d'accords commerciaux de 253,4 milliards de dollars -217 milliards d'euros- dans les domaines de l'énergie, l'aéronautique, l'agroalimentaire ou l'électronique, et des géants américains comme Boeing, Caterpillar, General Electric ou Qualcomm. Ce qui, selon lui, vient rééquilibrer les échanges bilatéraux. 
Tout sourire, le président américain, a même expliqué qu'il n'en voulait plus à Pékin. "Qui peut reprocher à un pays de profiter d'un autre pays pour le bien de ses citoyens?", a-t-il lancé. De leurs côtés, les Chinois ont salué les accords, qualifiés même de "véritable miracle" par le ministre chinois du Commerce, Zhong Shan. 

Faire du neuf avec du vieux: la politique à l'ancienne

Sauf que derrière la communication bien orchestrée se cache en réalité une "politique à l'ancienne", estime James McGregor, président Chine du cabinet APCO Worlwide. En clair? "Un dirigeant arrive et tire prestige d'une série d'accords déjà en cours, auxquels d'autres sont ajoutés pour arriver à un gros chiffre", explique l'expert. Ce qui permettra au bouillant hôte de la Maison Blanche de "tweeter qu'il est un formidable négociateur", s'amuse-t-il. 
En réalité, la plupart des annonces concernent des protocoles d'accord non-contraignants et des lettres d'intention, plutôt que des contrats fermes. "Il est judicieux de se demander ce qui va réellement se concrétiser", avertit Christopher Balding, professeur à l'Université de Pékin, pointant des annonces "vagues", voire des partenariats "de routine". 
"Certains protocoles d'accord pourraient ne mener à rien, il est facile d'être cynique. Mais d'autres sont assez substantiels", tempère néanmoins James McGregor. Ainsi, à l'heure où Pékin s'efforce de diversifier ses approvisionnements d'hydrocarbures, trois organismes étatiques chinois ont conclu un accord pour exploiter du gaz naturel liquéfié en Alaska, avec jusqu'à 43 milliards de dollars d'investissements prévus. 

Un rééquilibrage marginal

Pour autant, cette salve d'accords ne devrait rééquilibrer que marginalement le déficit commercial américain avec le géant asiatique -qui serait d'environ 350 milliards de dollars par an selon Washington-, et ne change rien au protectionnisme chinois que dénonce volontiers Donald Trump. 
"Nous n'avons vu aucun accord sur l'accès au marché ou sur une ouverture accrue de la Chine aux investissements: or, c'est plus important pour les firmes américaines que de grands coups commerciaux uniques", insiste Christopher Balding. Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson l'a reconnu lui-même: "Honnêtement, dans l'ensemble, ce que nous avons accompli jusqu'à présent [en matière commerciale] reste limité", évoquant même "une situation intenable." 
"En déroulant le tapis rouge à Donald Trump, à coup de canon et d'accords stéroïdés, Pékin adoptait une "stratégie chinoise classique", commentait de son côté l'ancien ambassadeur américain à Pékin Max Baucus. "Plus la pompe est grande et accaparante, et moins il y a de temps pour discuter" sérieusement, a-t-il analysé. 

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