Đã nhiều thập niên, dân tây thích mua và chạy xe bằng dầu Gasoil.
Loại xe chạy bằng năng lượng này, trước đây chỉ xài cho xe vận tải hàng hoá vì nó rẻ tiền hơn xăng và dĩ nhiên máy xe phải bền hơn.
Được và mất là hai thứ không thể thiếu trong đời sống.
Khi ta mua cái xe chạy bằng xăng thì tiền đổ xăng bỏ ra nhiều hơn khi đổ dầu Gasoil, nhưng xe lại rẻ hơn và tiền bảo trì xe xăng cũng rẻ hơn và xe mau hư hơn xe dầu.
Các hãng xe tây cũng bắt đầu tăng chuyện sản xuất xe dầu và tưởng rằng chuyện chế biến ống pô thông minh thì giảm chuyên ô nhiểm không khí.
Một hãng xe Đức, lỡ dại bán qua Mỹ hiệu xe nổi tiếng và bị Mỹ khám phá chuyện gian lận ô nhiểm khi các sinh viên Mỹ đã chế được cách đo ô nhiểm và dĩ nhiên nói dối thì không thể xin lỗi là hết chuyện.
Từ khi một đàn anh bị phạt nặng thì đàn em cũng theo sau xuống dốc, kèm theo chuyện chính trị là chính phủ bảo ai gây ra ô nhiểm thì người đó bị phạt.
Cứ chung quanh cái xe là công cụ đi làm của từng người mà bao nhiêu thứ thuế cũ, mới được thêm vào cho người xài xe.
Đường mòn vì xe , allez cho một cái thuế cho chính quyền điạ phương có tiền sửa đường.
Xe ô nhiểm thì chính phủ tặng thêm cái thuế vignette đủ màu phân chia loại nào đi vòng vòng ở ngoại ô, cấm không vào thành phố lớn ngaỳ kẹt xe hay tăng thuế trong xăng dầu, tha hồ hốt bạc, mà làm gì cho giảm ô nhiểm, có trời mà biết.
Rồi thì chỗ đậu xe theo vỉa hè ngày càng hiếm, đậu bậy thì chính phủ cho các hãng tư nhân thay thế fonctionnaire thẳng tay trừng trị, hoặc phạt hoặc lôi về phú de.
Đó là chưa kể đến vấn đề bảo hiểm theo xe tốt xấu, cũng chém đẹp không thua cho người có cái xe, mà xe lọc cọc quá thì đừng hòng có giấy phép lưu thông.
Giấy phép lưu thông là cứ mỗi hai năm lại phaỉ mang xe đi kiểm duyệt, sửa xe và trả tiền mệt nghỉ.
Hôm nay mời quý anh chị đọc một bài báo trong tạp chí pháp, tôi không được phép trích đăng, mà gửi link kèm theo đây để quý anh chị tìm đọc cho biết tương lai mấy nhà sản xuất xe tây cũng khốn đốn bất ngờ.
Mách riêng cho dân" tây đui" là máy xe tây bây giờ cũng sản xuất tại Trung Quốc đó... có ai dơ tay phản đối không xài xe tây nữa không?
Kinh tế và xã hội tự do đó, và tự do là cái thứ mà chúng ta không thể naò thiếu trong cuộc sống hằng ngày khi cái xe là cái nồi cơm nuôi lại mình.
Caroline Thanh Hương
Nhấn vàolink bên dưới để đọc bài trong tạp chí báo pháp.
Les constructeurs français face à l'effondrement du diesel
Automobile : les groupes français poussés par le SUV
Si la réussite en France est indéniable, les constructeurs tricolores doivent encore confirmer cet élan à l'exportation, où les attentes sont plus élevées
Source AFP
Modifié le -
Publié le
| Le Point.fr
L'année 2017 a été très bonne pour les groupes automobiles tricolores
sur le marché français, un succès rendu possible par une percée dans
les modèles SUV, ces 4 x 4 urbains plébiscités par les clients.
Le marché du véhicule particulier neuf a retrouvé un niveau historiquement élevé en progressant de 4,7 % l'an dernier. Les constructeurs français Renault (avec Dacia) et PSA (Peugeot, Citroën, DS, Opel) ont connu en moyenne une croissance trois fois plus forte (à + 6,7 %) que leurs homologues étrangers (+ 2,4 %). Majoritaires dans le pays, ils ont gagné un point de part de marché à 54,5 %.
Peugeot illustre particulièrement ce renouveau. Les ventes de la marque au lion ont progressé de plus de 9 % dans l'Hexagone au cours de l'année écoulée. Avec près de 17,5 % de part de marché, Peugeot retrouve ses niveaux d'il y a dix ans, après des années difficiles.
« C'est une année exceptionnelle », se félicite Laurent Barria, responsable du marketing Peugeot pour la France. Il voit deux raisons essentielles à ce succès : d'une part, la stratégie du groupe PSA « qui consiste à faire moins de modèles, mais des modèles plus performants » ; d'autre part, la percée des SUV (sport utility vehicle). Les modèles de SUV 2008, 3008 et 5008 « représentent 45 % des ventes chez Peugeot », souligne M. Barria.
Elle mise l'an prochain sur son petit SUV C3 Aircross, qui vient d'être lancé, et enregistre déjà 20 000 commandes. Ce véhicule, sélectionné parmi les sept finalistes du prix de la Voiture européenne de l'année 2018, est déjà « un très grand succès » et « devrait aider la part de marché de Citroën à redécoller », estime Amaury de Bourmont, directeur commercial France de la marque.
Ainsi, le groupe PSA, leader du marché français, renforcé par le rachat d'Opel l'été dernier, pourrait faire mieux l'an prochain que les 29 % du marché atteints en 2017.
Chez Renault, on affiche aussi sa satisfaction. « On fait une performance solide », résume Philippe Buros, directeur commercial pour la France. En hausse de 3,1 %, le groupe, aidé par une progression de 6,6 % de sa marque à bas coût Dacia, a fait moins bien que son compatriote PSA, mais mieux que la moyenne des groupes étrangers. Avec plus de 25 % des immatriculations françaises, il consolide sa deuxième position. En 2012, il avait atteint un point bas à 22,3 % de part de marché.
« Notre grand sujet de fierté, c'est Dacia qui est devenue la
troisième marque à particuliers en France », souligne M. Buros. Si on
exclut les ventes aux entreprises et aux loueurs, la marque rachetée
en 1999 par Renault a en effet dépassé Citroën l'an dernier. Faut-il
s'en réjouir ou au contraire s'en alarmer face aux modèles classiques,
Dacia opposant le réalisme du déplacement à moindre coût face aux
prestations de standing. Le pilier de son succès : le SUV Duster, dont
une nouvelle version très estimable vient d'être lancée en fin d'année.
À noter néanmoins qu'aucun autre grand groupe n'a, jusqu'à présent, imité Renault dans cette diversification vers le bas, de celles qui entament les marges. Renault a élargi sa gamme en s'appuyant sur son alliance avec le japonais Nissan. Le nouveau Koleos et le Kadjar ont complété le Captur dans les SUV. « On a fait des investissements qui nous permettent d'aller dans tous les segments », estime M. Buros.
« La bonne santé du marché profite aux constructeurs tricolores », juge aussi Flavien Neuvy, directeur de l'Observatoire Cetelem de l'automobile, pour qui « cela profite aux sites de production en France ».
« Ce qui est très notable, c'est que les constructeurs français ont réussi à s'adapter à l'évolution de la demande », notamment à l'émergence du « segment des SUV qui a pris une place incroyable », note comme nombre d'observateurs cet expert. Selon lui, leur croissance s'appuie sur « des fondamentaux solides » et non pas sur des rabais, ce qui permet de préserver leur rentabilité. « Aujourd'hui, ils répondent aux attentes des automobilistes et sont donc bien armés pour les années à venir. »
Le marché du véhicule particulier neuf a retrouvé un niveau historiquement élevé en progressant de 4,7 % l'an dernier. Les constructeurs français Renault (avec Dacia) et PSA (Peugeot, Citroën, DS, Opel) ont connu en moyenne une croissance trois fois plus forte (à + 6,7 %) que leurs homologues étrangers (+ 2,4 %). Majoritaires dans le pays, ils ont gagné un point de part de marché à 54,5 %.
Peugeot illustre particulièrement ce renouveau. Les ventes de la marque au lion ont progressé de plus de 9 % dans l'Hexagone au cours de l'année écoulée. Avec près de 17,5 % de part de marché, Peugeot retrouve ses niveaux d'il y a dix ans, après des années difficiles.
« C'est une année exceptionnelle », se félicite Laurent Barria, responsable du marketing Peugeot pour la France. Il voit deux raisons essentielles à ce succès : d'une part, la stratégie du groupe PSA « qui consiste à faire moins de modèles, mais des modèles plus performants » ; d'autre part, la percée des SUV (sport utility vehicle). Les modèles de SUV 2008, 3008 et 5008 « représentent 45 % des ventes chez Peugeot », souligne M. Barria.
Politique de prix plus vertueuse
La marque Citroën, en plein repositionnement marketing, qui a entamé le renouvellement de sa gamme avec la nouvelle C3 lancée il y a un peu plus d'un an, a pour sa part réussi à stopper l'hémorragie de ses parts de marché. Pour la deuxième année de suite, les volumes de ventes augmentent et l'objectif est de repartir à la conquête en s'appuyant sur une politique de prix plus vertueuse, en concédant moins de rabais.Elle mise l'an prochain sur son petit SUV C3 Aircross, qui vient d'être lancé, et enregistre déjà 20 000 commandes. Ce véhicule, sélectionné parmi les sept finalistes du prix de la Voiture européenne de l'année 2018, est déjà « un très grand succès » et « devrait aider la part de marché de Citroën à redécoller », estime Amaury de Bourmont, directeur commercial France de la marque.
Ainsi, le groupe PSA, leader du marché français, renforcé par le rachat d'Opel l'été dernier, pourrait faire mieux l'an prochain que les 29 % du marché atteints en 2017.
Chez Renault, on affiche aussi sa satisfaction. « On fait une performance solide », résume Philippe Buros, directeur commercial pour la France. En hausse de 3,1 %, le groupe, aidé par une progression de 6,6 % de sa marque à bas coût Dacia, a fait moins bien que son compatriote PSA, mais mieux que la moyenne des groupes étrangers. Avec plus de 25 % des immatriculations françaises, il consolide sa deuxième position. En 2012, il avait atteint un point bas à 22,3 % de part de marché.
Dacia, reflet d'une paupérisation
À noter néanmoins qu'aucun autre grand groupe n'a, jusqu'à présent, imité Renault dans cette diversification vers le bas, de celles qui entament les marges. Renault a élargi sa gamme en s'appuyant sur son alliance avec le japonais Nissan. Le nouveau Koleos et le Kadjar ont complété le Captur dans les SUV. « On a fait des investissements qui nous permettent d'aller dans tous les segments », estime M. Buros.
« La bonne santé du marché profite aux constructeurs tricolores », juge aussi Flavien Neuvy, directeur de l'Observatoire Cetelem de l'automobile, pour qui « cela profite aux sites de production en France ».
« Ce qui est très notable, c'est que les constructeurs français ont réussi à s'adapter à l'évolution de la demande », notamment à l'émergence du « segment des SUV qui a pris une place incroyable », note comme nombre d'observateurs cet expert. Selon lui, leur croissance s'appuie sur « des fondamentaux solides » et non pas sur des rabais, ce qui permet de préserver leur rentabilité. « Aujourd'hui, ils répondent aux attentes des automobilistes et sont donc bien armés pour les années à venir. »
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Il était temps !
Les voitures Françaises étaient à la ramasse par
manque de véritable renouveau. Les étrangères, et notamment les
allemandes, avaient pris des années (beaucoup trop) avec les SUV
auxquels PSA et Renault ne croyaient pas, observant béatement les
performances étrangères. Ils y sont enfin venus, mais quelle perte de
temps et quel manque de vision.
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