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Caroline Thanh Hương
© Reuters
Emmanuel Macron ne fait
plus du départ de Bachar el-Assad un préalable à toute discussion en Syrie. Le
président français justifie cette position par le fait qu'il n'existe pas selon
lui de "successeur légitime" au président syrien. Une petite phrase
qui a…
Emmanuel Macron ne fait plus du départ de Bachar el-Assad
un préalable à toute discussion en Syrie. Le président français justifie cette
position par le fait qu'il n'existe pas selon lui de "successeur
légitime" au président syrien. Une petite phrase qui a choqué.
"L'époque où Macron était le leader moral du monde
libre a pris fin assez rapidement, n'est-ce pas?" Cette petite phrase,
lâchée sur Twitter par Kyle Orton chercheur au Centre for the Response to
Radicalisation and Terrorism, basé à Londres, résume le désarroi qui demeure
après les propos tenus par
Emmanuel Macron sur la
Syrie dans un
entretien accordé jeudi à huit quotidiens européens. "Je n'ai pas énoncé
que la destitution de Bachar était un préalable à tout. Car personne ne m'a
présenté son successeur légitime!", déclare en effet le président
français.
Priorité numéro un : lutter contre les terroristes
Sur les réseaux sociaux, chercheurs et internautes ont
souvent interprété cette phrase comme un blanc-seing accordé à
Bachar el-Assad
pour, sinon qu'il se maintienne au pouvoir, du moins qu'il participe à la
transition politique en Syrie. Cette idée n'est pourtant pas nouvelle dans la
diplomatie française. Si pendant longtemps, Paris a renvoyé dos à dos
terroristes de l'Etat islamique et Bachar el-Assad, la France avait légèrement
infléchi sa position après les attentats de novembre 2015, faisant de la lutte
contre le terrorisme une priorité. Le ministre des Affaires étrangères de
l'époque, Laurent Fabius, avait ainsi évoqué dès fin 2015 la possibilité d'une
transition politique en présence de Bachar el-Assad. Mais la France répétait
également que le président syrien ne pouvait "représenter l'avenir"
d'un pays ravagé par six ans d'un conflit au bilan terrifiant - plus de 320.000
morts et des millions de réfugiés.
Emmanuel Macron le reconnaît d'ailleurs lui-même : il s'agit
d'un "aggiornamento" – une mise à jour – de sa politique dans ce
dossier complexe. "Nous devons construire la sortie de Bachar el-Assad
dans une transition vers un nouveau régime", disait-il en effet durant la
campagne électorale. Désormais Président, il fait de la lutte contre le
terrorisme sa priorité. Un argumentaire que l'on pouvait par exemple retrouver
chez un François Fillon, qui justifiait d'ailleurs ainsi un dialogue avec
Bachar el-Assad et un rapprochement avec Moscou.
"Honte à la France" dit l'opposition syrienne
Or, c'est ce que dit aujourd'hui Emmanuel Macron. "Mes
lignes sont claires (…) Un : la lutte absolue contre tous les groupes
terroristes. Ce sont eux, nos ennemis. Nous avons besoin de la coopération de
tous pour les éradiqueR, en particulier de la Russie", déclare-t-il, soulignant
les discussions constructives avec Vladimir Poutine lors de son passage à Paris
fin mai. On est loin des propos qu'il tenait il y a à peine quelques mois,
quand il accusait le Kremlin de complicité de "crimes de guerre" lors
de la reprise d'Alep. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves
Le Drian, était d'ailleurs à Moscou mardi.
Un revirement qui a provoqué le désarroi de l'opposition
syrienne. "Ces déclarations sont surprenantes, compte tenu que la France
faisait partie des quatre principaux pays réclamant le départ de 'Bachar le
Chimique', a ainsi écrit sur Twitter l'une de ses figures, Khaled Khoja. Même
son de cloche du côté d'Ahmed Ramadan, également membre de l'opposition :
"Honte à la France, dont le dirigeant Emmanuel Macron ne considère pas
Bachar comme son ennemi ou l'ennemi de l'humanité."
Le chercheur français Bruno Tertrais souligne, lui,
l'incompréhension suscitée par cet "aggiornamento".
La résolution politique du conflit au second plan?
La deuxième partie de la phrase prononcée par Emmanuel
Macron dans cet entretien est également surprenante. Comme dit plus haut, il a
déclaré : "Personne ne m'a présenté son successeur légitime." Qu'a
voulu dire exactement Emmanuel Macron en parlant de "successeur
légitime"? Cela signifie-t-il que le président français ne considère pas
la mise en place d'un processus politique, et donc la tenue d'élections libres
et démocratiques, comme une étape première et indispensable à toute résolution
du conflit?
Difficile de répondre à cette question. Mais une chose
paraît certaine : le règlement politique du conflit n'apparaît plus comme étant
au cœur de la doctrine française, mais davantage comme un corollaire. Si le
président français affirme qu'"il faut une feuille de route diplomatique
et politique", il ne s'attarde pas sur le sujet et ne cite jamais le rôle
que pourrait avoir l'ONU dans ce processus, dont une résolution adoptée en 2015
constituait jusqu'à présent la référence pour un règlement du conflit.
"Le changement de ligne est clair", analyse une
source diplomatique citée par l'AFP, avant d'ajouter : "Ça fait des années
qu'on dit qu'Assad doit partir et ça n'a rien donné. Diplomatiquement, rien
n'avance, Genève [lieu des négociations inter-syriennes, Ndlr] ne sert pas à
grand-chose... On ne peut pas continuer comme ça".
Les lignes rouges d'Emmanuel Macron : suffisant?
Emmanuel Macron justifie cette politique pragmatique –
realpolitik disent déjà certains – par le fait que la priorité absolue est
d'éviter d'avoir "un Etat failli" en Syrie. "Je ne veux pas d'un
Etat failli", insiste-t-il, évoquant les exemples irakien et libyen.
"La démocratie ne se fait pas de l'extérieur, sans tenir compte des
peuples. La France n'a pas participé à la guerre en Irak, et elle a eu raison.
Et elle s'est trompée en faisant la guerre de cette façon en Libye",
dit-il encore. En agissant ainsi, le Président espère aussi replacer la France
dans le jeu, en profitant notamment de l'absence de visibilité américaine.
Pour rassurer, Emmanuel Macron a toutefois rappelé ses deux
lignes rouges, déjà énoncées au côté de Vladimir Poutine à Versailles :
"les armes chimiques et l'accès humanitaire", sur lesquelles il
affirme qu'il sera "intraitable". Il a d'ailleurs réaffirmé que la
France procéderait à des frappes si le régime syrien venait à utiliser des
armes chimiques. Sur l'accès humanitaire, et son non-respect, le chef de l'Etat
n'a en revanche rien dit sur la manière dont il entendait le faire respecter.
Ce qui à l'heure du bilan de cette nouvelle position française dans le dossier
syrien parait un peu léger.
nguồn, source de
Syrie : la nouvelle position d'Emmanuel Macron crée une polémique
Macron prévient que la France pourra frapper seule en
Syrie
En cas d'utilisation avérée d'armes chimiques par le régime
syrien, la France pourra procéder à des frappes pour détruire les stocks,
assure le président français dans une interview accordée à plusieurs médias
européens.
Plus
Un peu plus d'un mois après son élection à la présidence de
la République, Emmanuel Macron a donné son premier entretien à une série de
journaux européens dont Le Figaro. Il y expose les grands principes de
sa politique étrangère, et s'exprime notamment sur la guerre en Syrie.
Alors que son prédécesseur, François Hollande, avait
longtemps fait du départ de Bachar al-Assad une condition préalable à la
résolution du conflit syrien, le nouveau président de la République présente
une vision plus nuancée.
"Le vrai aggiornamento que j'ai fait sur ce sujet,
c'est que je n'ai pas énoncé que la destitution de Bachar el-Assad était un
préalable à tout. Car personne ne m'a présenté son successeur légitime!",
indique-t-il dans cet entretien.
Pour Emmanuel Macron, la priorité, c'est bien la stabilité
du pays. "Avec moi, ce sera la fin d'une forme de néoconservatisme
importée en France depuis dix ans", prévient-il.
"La démocratie ne se fait pas depuis l'extérieur à
l'insu des peuples. La France n'a pas participé à la guerre en Irak et elle a
eu raison. Et elle a eu tort de faire la guerre de cette manière en Libye. Quel
fut le résultat de ces interventions? Des États faillis dans lesquels prospèrent
les groupes terroristes. Je ne veux pas de cela en Syrie", explique-t-il.
Les armes chimiques, une ligne rouge à ne pas franchir
Si François Hollande envisageait des frappes...
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295 réactions
Principales réactions
Joy
hier
encore un va-t-en-guerre, la Syrie n'est pas un problème
français
RépondreRéponses (16)
20627
géronimo
hier
Qu'il est con ce type, occupes toi des français et laisse la
syrie tranquille, ocuupes toi des migrants, occupe toi de l'insécurité, occupes
toi du chomage et laisse la syrie tranquille macrotte
RépondreRéponses (6)
17928
Zoubir
hier
Quel minable : il cherche juste � inciter les rebelles � faire un nouvel attentat chimique, en leur
promettant qu'il fera porter la responsabilit�
� Damas.C'est un bon
calcul de dire que l'aviation fran�aise
frappera "seule" le lendemain du jour o�
les Russes viennent de d�cr�ter que la Syrie � l'Ouest de l'Euphrate est une
zone d'interdiction et qu'ils accrocheront syst�matiquement
tout objet volant, quelle que soit la nationalit�,
et qu'ils le consid�reront
comme ennemi.Oh mais bien s�r,
il d�livrera une l�gion d'honneur posthume au
pauvre #$%$ qu'il aura �
dessein envoy� se faire
abattre par les S400. Et en prime, un bisou de m�m� Brigitte � la veuve.
Plus
RépondreRéponses (13)
10327
Bri
hier
Il ne met pas longtemps à montrer sa VERITABLE personnalité
.
IL est fou
RépondreRéponses (4)
14227
dissident
hier
Mais de quoi va-t-il s'occuper? Encore un mec, ce n'est pas
une surprise puisqu'il est lui aussi un pion du système, qui va saborder la
France notamment en lui occasionnant des dépenses monstrueuses pour des
intérêts étrangers. Voilà ce qui arrive quand les Français, encore une fois,
mettent au pouvoir un type qui est à la solde des banques, de l'oligarchie US
et des multinationales. Si son quinquennat part sur de telles bases
l'augmentation de la csg ne va pas suffire, les Français vont finir à poil. Il
est bien le fils spirituel du mollusque. Ainsi le programme de micron se
précise, guerres, venue de millions d'immigrés, disparition du code du travail,
augmentation importante des impôts, etc... Ce n'est pas le genre de décisions
qui vont profiter aux Français, on peut le dire avec certitude, mais alors à
qui cela profite-t-il,hein?
Plus
RépondreRéponses (3)
8112
Zip
hier
Les Russes seraient peut etre moins timide pour répondre et
couler notre porte ,avions.. c'est pas si dur que ça c'est même simple vue les
règles d'engagements ou nous sommes bien souvent pieds et poings liés et
poutine le sait il en a même parlé, alors macron garde tes billes a la maisons
et arrête de faire le méchant, nous n'en avons plus les moyens.
RépondreRéponses (9)
6811
Brandon
hier
c'est suicidaire de partir a la guerre quand les caisses
sont vides
RépondreRéponses (4)
776
Mirage 2012
hier
il est fou ce mec
va voir ta veille elle va te calmer
et reviens quand tu sera un homme
pauvre gamin
Plus
RépondreRéponses (2)
11027
petition
hier
Occupez vous de la France , et il y a beaucoup a faire, vous
ne pouvez pas etre juge , parti, et bourreau , on n accuse pas sans enquete ,
sans proces , c est du COLONIALISME
RépondreRéponses (6)
9019
petition
hier
Macron vous n etes pas Dieu, on attend toujours les preuves
de l implication du regime dans l attaque de khan sheikoun , ayrault devait
nous les montrer on attend toujours ,
RépondreRéponses (6)
769