La France et l'Italie passent à l'Est en adhérant à la Banque asiatique d'investissement
FRANCE / ITALIE. Les ministères français et italiens annoncent, mardi 17 mars 2015, leur intention de devenir membres fondateurs de la Banque asiatique d'investissement dans les infrastructures (AIIB).
Comme l'indique le communiqué publié par les Français, "cette nouvelle banque d’investissement qui aura vocation à travailler en partenariat avec les banques multilatérales d’investissement et de développement existantes, pourra jouer un rôle important dans le financement des infrastructures dont l’Asie a un besoin majeur. L’AIIB participera ainsi au développement économique et social de la région et contribuera à la croissance mondiale."
Créée à Pékin en octobre 2014 avec une mise initiale de 50 mrds$ principalement abondés par la Chine et promise à être doublée, l'AIIB devient une rivale du Fonds monétaire international (FMI) mais aussi de la Banque mondiale et de la banque de développement asiatique.
Cette nouvelle banque entend promouvoir l'investissement dans les transports, l'énergie, les télécommunications et d'autres infrastructures dans les pays asiatiques en développement.
L'Allemagne rejoint également ces deux pays qui avaient été précédés par la Grande-Bretagne et le Luxembourg voici quelques semaines. Au 17 mars 2015, l'AIIB compte donc trente et un membres. A part ces membres de l'Union européenne, tous les autres appartiennent à la région Asie Pacifique.
Comme l'indique le communiqué publié par les Français, "cette nouvelle banque d’investissement qui aura vocation à travailler en partenariat avec les banques multilatérales d’investissement et de développement existantes, pourra jouer un rôle important dans le financement des infrastructures dont l’Asie a un besoin majeur. L’AIIB participera ainsi au développement économique et social de la région et contribuera à la croissance mondiale."
Créée à Pékin en octobre 2014 avec une mise initiale de 50 mrds$ principalement abondés par la Chine et promise à être doublée, l'AIIB devient une rivale du Fonds monétaire international (FMI) mais aussi de la Banque mondiale et de la banque de développement asiatique.
Cette nouvelle banque entend promouvoir l'investissement dans les transports, l'énergie, les télécommunications et d'autres infrastructures dans les pays asiatiques en développement.
L'Allemagne rejoint également ces deux pays qui avaient été précédés par la Grande-Bretagne et le Luxembourg voici quelques semaines. Au 17 mars 2015, l'AIIB compte donc trente et un membres. A part ces membres de l'Union européenne, tous les autres appartiennent à la région Asie Pacifique.
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