Nói là làm, tân Tổng Thống Mỹ đã ngăn chận những người dân thuộc một số quốc gia mà Mỹ không muốn chơi nữa.
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Caroline Thanh Hương
Ce que dit exactement le décret de Donald Trump sur l'immigration
VIDÉOS
- Une semaine après son arrivée au pouvoir, le nouveau président des
États-Unis a pris des mesures choc pour «protéger la nation du
terrorisme». En voici les grandes lignes.
Vendredi,
Donald Trump a signé un décret sur la «protection de la nation contre
l'entrée de terroristes étrangers aux États-Unis». Celui-ci vise à restreindre les conditions d'entrée sur le territoire.● Suspension temporaire de visas pour certains pays
Le décret interdit l'entrée aux États-Unis des ressortissants de certains pays pendant une période de 90 jours. Aucun pays particulier n'est mentionné dans le décret. Mais, dans les faits, il est prévu qu'il s'applique aux ressortissants de sept pays musulmans: Syrie, Iran, Soudan, Libye, Somalie, Yémen et Irak. Il y a une exception pour certains types de visas, notamment pour les diplomates et les Nations unies.Cet arrêt temporaire vise à donner au département de la Sécurité intérieure, au département d'État et au Directeur du renseignement national du temps pour déterminer quelle information est nécessaire pour chaque pays de façon à s'assurer que les visas ne sont pas accordés à des individus qui constituent une menace pour la sécurité nationale.
● Création d'un processus unique de contrôle des entrants aux États-Unis
Le décret demande la création d'un processus unique de contrôle des personnes entrant aux États-Unis. Ce processus applicable à tous pourrait comprendre des entretiens en tête-à-tête, des recherches dans une grande base de données des pièces d'identité ou des formulaires de demande plus longs.Dans le système actuel, certaines demandes de visa nécessitent des entretiens, d'autres non. Le gouvernement américain possède déjà des bases de données très importantes, mais certains estiment qu'elles doivent encore être étoffées.
Le décret suspend le «Visa Interview Waiver Program», qui permet aux personnel consulaire d'exempter certains requérants des entretiens en face-à-face dans le cas où il cherchent à renouveler leur visa temporaire quand il arrive à expiration.
Compte tenu du nombre d'entretiens supplémentaires qui risquent d'être nécessaires, le décret appelle à l'embauche de personnel consulaire dans les ambassades des États-Unis.
● Arrêt temporaire de toutes les admissions de réfugiés
Le décret prévoit l'arrêt temporaire de toutes les admissions de réfugiés pour quatre mois, le temps que le gouvernement fasse le point sur les pratiques en cours et détermine si des vérifications supplémentaires sont nécessaires, bien que des exemptions au cas par cas soient prévues.Le décret prévoit aussi une interdiction générale de tous les réfugiés syriens tant que des «changements suffisants» n'auront pas été décidés en ce qui concerne le programme d'accueil.
Une fois la suspension levée, le gouvernement donnera priorité aux candidats qui souffrent de persécutions liées à leur religion mais seulement dans le cas où ils sont minoraires dans leur pays.
Dans un entretien télévisé, Donald Trump a précisé vendredi que cette mesure visait à protéger les chrétiens. Elle pourrait aussi protéger d'autres minorités du Proche-Orient comme les Yazidis.
Une fois que les admissions de réfugiés reprendront, il est prévu que le nombre de personnes admises soit en baisse. Le plafond pour 2017 avait été fixé à 50.000 personnes, contre 85.000 prévus pour 2016 par Barack Obama.
VIDÉO - Décret anti-immigration: des milliers de manifestants à l'aéroport JFK de New York
● Achèvement du système biométrique entrée-sortie
Le système vise à repérer l'arrivée et le départ des visiteurs étrangers grâce aux empreintes digitales et d'autres informations. L'administration Obama voulait commencer à mettre en oeuvre des vérifications biométriques à la sortie dans les principaux aéroports du pays en 2018. Pour qu'il fonctionne correctement, le système doit couvrir tous les accès, qu'ils soient terrestres, aériens ou portuaires.Plusieurs organisations d'aide aux immigrés ont saisi la justice américaine pour contester ce décret, tandis que plusieurs pays, dont la France et l'Allemagne, ont exprimé leur inquiétude.
Décret Trump : qui sont les passagers interdits
d'embarquement vers les États-Unis
Le nouveau président américain a pris un décret
interdisant l'entrée du pays aux ressortissants de sept pays à majorité
musulmane.
Source AFP
Modifié le 29/01/2017 à 13:03 - Publié le 29/01/2017 à 11:32
| Le Point.fr
Air France a prévu de prévenir les passagers par courriel ou
SMS. © AFP/ JACQUES DEMARTHON
Le décret du président américain Donald Trump interdisant
l'entrée aux États-Unis de
ressortissants de sept pays majoritairement musulmans (Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie,
Yémen) a des effets à travers le monde, où des passagers se sont vu interdire
d'embarquer. Voici quelques cas recensés jusqu'à présent :
- AUTRICHE : Au moins trois Iraniens ont été interdits
d'embarquer samedi pour les États-Unis à l'aéroport de Vienne, a indiqué un
porte-parole d'Austrian Airlines. Les trois passagers, un couple âgé et une
jeune femme, étaient tous en possession de visas pour les États-Unis, a déclaré
Peter Thier à l'agence de presse autrichienne (APA). Le couple est toujours à
Vienne, tandis que la jeune femme est retournée en Iran, selon lui.
- ÉGYPTE : Au Caire, un couple irakien et ses deux enfants qui avaient réservé des billets sur un vol d'EgyptAir et disposaient de visas pour les États-Unis n'ont pu embarquer, ont indiqué samedi à l'Agence France-Presse des responsables de l'aéroport. Selon un responsable d'EgyptAir, la compagnie n'avait pas été officiellement informée des nouvelles régulations et son site ne donnait aucune précision sur les nouvelles règles en vigueur pour les voyages aux États-Unis.
- ÉTATS-UNIS : Des dizaines de passagers - entre 100 et 200, selon le quotidien New York Times - ont été interpellés à leur arrivée dans les aéroports américains et menacés d'expulsion. En particulier, dès la promulgation du décret vendredi soir, deux Irakiens pourtant détenteurs de visas ont été interpellés à l'aéroport JF Kennedy de New York. Alors que les défenseurs des droits civiques se mobilisaient pour manifester leur soutien aux passagers bloqués, les associations de défense des droits de l'homme ont obtenu le blocage partiel des expulsions par une juge.
- IRAN : Des responsables de deux agences de voyages ont affirmé avoir reçu des instructions de la part des compagnies Emirates, Turkish Airlines et Etihad Airways de ne plus vendre de billets à des Iraniens ayant un visa américain, car ces dernières refusent de les embarquer. Maryam, une Iranienne de 44 ans qui avait obtenu sa « carte verte » (permis de résidence) en octobre après 14 ans d'attente, a indiqué à l'Agence France-Presse avoir été empêchée samedi soir de prendre l'avion pour les États-Unis. Elle avait vendu sa maison et voulait partir définitivement dans ce pays. Une Iranienne, étudiante en gestion en Californie qui devait retourner le 4 février aux États-Unis, a déclaré à l'Agence France-Presse sous le couvert de l'anonymat : « J'avais un billet sur Turkish (Airlines) le 4 février prochain, mais il a été annulé. » L'Iran a dénoncé la décision « insultante » des États-Unis et annoncé le principe de réciprocité pour les voyageurs américains.
- PAYS-BAS : La compagnie néerlandaise KLM a refusé d'embarquer sept personnes pour les États-Unis. « Nous aurions bien aimé les faire voyager avec nous, mais cela n'a pas beaucoup de sens, l'entrée du pays leur aurait été refusée », a affirmé à l'Agence France-Presse une porte-parole de KLM. Celle-ci a refusé de donner des détails sur la nationalité de ces voyageurs, leur aéroport d'origine ou leurs destinations.
- SUISSE : La compagnie Swiss applique « dès à présent » le décret Trump, elle n'a « pas le choix », a affirmé samedi son directeur général pour la Suisse romande. « Nous avons l'obligation légale d'appliquer ce décret », a ajouté Lorenzo Stoll sur la Radio télévision suisse (RTS), précisant néanmoins qu'il y a « très peu » de ressortissants des sept pays concernés qui transitent par Zurich et Genève sur des vols de Swiss.
- FRANCE : Air France a indiqué dimanche avoir refusé d'embarquer une quinzaine de personnes vers les États-Unis depuis la signature du décret Trump. Ces passagers sont des ressortissants des sept pays mentionnés dans le décret, « mais cela ne veut pas dire qu'ils venaient forcément de ces pays », a précisé un porte-parole. « Personne n'est bloqué à Paris, on a pris les dispositions nécessaires pour réacheminer ces personnes à leur point d'origine », a-t-il indiqué. Air France a prévu de prévenir les passagers par courriel ou SMS des nouvelles règles.
heures après la décision du président américain Donald Trump d'interdire l'arrivée de ressortissants de sept pays à majorité musulmane.
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Des dizaines de passagers affectés par le décret sur l'immigration du président américain Donald Trump. Son application, dès vendredi 27 janvier au soir, a pris par surprise des personnes qui se trouvaient à bord d'un avion ou prêtes à embarquer. S'il ne sont plus menacés d'expulsion grâce à la victoire des associations de défense des droits, des dizaines de passagers, dont le nombre est estimé entre 100 et 200 par le quotidien New York Times (en anglais), ont été interpellés à leur arrivée dans les aéroports américains et menacés d'expulsion. Franceinfo a réuni quelques-uns de leurs témoignages.
>> Quatre questions sur l'"inquiétant" décret de Donald Trump sur l'immigration
Une Iranienne, étudiante en gestion en Californie, devait retourner le 4 février aux Etats-Unis. "J'avais un billet sur Turkish (Airlines) le 4 février prochain, mais il a été annulé", explique-t-elle à l'AFP, sous couvert de l'anonymat.
Une autre famille syrienne raconte avoir été bloquée à l'aéroport international de Philadelphie, dans l'état de Pennsylvanie, "malgré leurs papiers en règle, cartes vertes et visas approuvés", souligne le New York Times.
Au Caire, un couple irakien et leurs deux enfants qui avaient réservé des billets sur un vol d'EgyptAir ont été informés qu'ils ne pouvaient pas embarquer en raison des nouvelles règles. Fouad Charef, qui travaille dans le secteur pharmaceutique, a dû ainsi retourner à Erbil, au Kurdistan irakien. "J'ai vendu ma maison, ma voiture, mes meubles. Ma femme et moi avons quitté nos emplois", a-t-il raconté à l'AFP, alors que le couple devait s'installer dans le Tennessee, dans le sud des Etats-Unis, après avoir reçu un visa d'immigration. "Donald Trump a ruiné ma vie", dit-il, affirmant qu'il avait mis, à une époque, sa "vie en danger pour travailler avec les Américains."
>> Quatre questions sur l'"inquiétant" décret de Donald Trump sur l'immigration
Des étudiants de Yale, Harvard ou du MIT
Le New York Times parle de plusieurs étudiants bloqués à cause du décret de Donald Trump. Le journal américain évoque notamment le cas d'un élève de la prestigieuse université de Yale, d'un étudiant du Massachusetts Institute of Technology, à Cambridge, qui n'aurait pas réussi à embarquer dans un avion, et d'un étudiant en licence à Stanford. Ce dernier, de nationalité soudanaise, a été retenu à l'aéroport JFK, à New York, pendant cinq heures. "Il vit aux Etats-Unis depuis 1993", précise Michael McFaul, professeur à Stanford.Un jeune scientifique iranien, Seyed Soheil Saeedi Saravi, avait remporté une bourse d'études pour étudier la médecine cardiovasculaire à Harvard. Le décret a bousculé les choses et le visa de l'étudiant a été "suspendu pour une période indéfinie", précise le New York Times. "Il a énormément de potentiel et pourrait contribuer à améliorer notre compréhension des maladies du cœur", a regretté un professeur de l'université qui devait l'accueillir.Stanford grad student & former Harvard grad,Nisrin Omer, has lived in US since 1993, detained today at JFK: https://t.co/NwhiKrt0UR— Michael McFaul (@McFaul) 29 janvier 2017
Une Iranienne, étudiante en gestion en Californie, devait retourner le 4 février aux Etats-Unis. "J'avais un billet sur Turkish (Airlines) le 4 février prochain, mais il a été annulé", explique-t-elle à l'AFP, sous couvert de l'anonymat.
Un interprète qui a travaillé pour le gouvernement
Lui a été libéré peu après minuit, dans la nuit de samedi à dimanche 29 janvier. Hameed Khalid Darweesh a été retenu aussi à l'aéroport new-yorkais JFK, pendant 19 heures, d'après le New York Times. Le journal raconte que l'homme a travaillé, pendant plus de dix ans, pour le gouvernement américain en Irak. "Qu'est-ce que j'ai fait à ce pays pour qu'ils me passent les menottes ?", s'est indigné Hameed Khalid Darweesh en sortant.Des familles syriennes qui devaient arriver bientôt aux Etats-Unis
Voyage également annulé pour une famille syrienne, dont les six membres, deux parents et quatre enfants âgés de 6 à 15 ans, avaient fui en 2014 et se trouvaient dans un camp de réfugiés en Turquie depuis. Ils devaient arriver mardi 31 janvier à Cleveland mais en sont maintenant empêchés, raconte le site Cleveland.com (en anglais).Une autre famille syrienne raconte avoir été bloquée à l'aéroport international de Philadelphie, dans l'état de Pennsylvanie, "malgré leurs papiers en règle, cartes vertes et visas approuvés", souligne le New York Times.
Des personnes en vacances
Hamaseh Tayari, détentrice d'un passeport iranien, a mal terminé ses vacances. La jeune fille, résidant en Ecosse, était en congés avec son petit ami au Costa Rica et devait rentrer à Glasgow. Mais son vol devait faire escale à New York. "Elle n'a pas pu entrer dans l'avion parce que son visa de transit lui a été retiré", raconte The Guardian (en anglais). "Cela n'arrive pas qu'aux réfugiés", a-t-elle fait remarquer au journal. L'Iranienne devra donc peut-être payer un second billet, pour un trajet passant par Madrid. "On économisait depuis des mois pour ces vacances et ça va me coûter un mois de salaire pour rentrer à la maison", déplore-t-elle.Des détenteurs de "cartes vertes"
Maryam, une Iranienne de 44 ans qui avait obtenu sa "carte verte" (permis de résidence) en octobre, après 14 ans d'attente a indiqué à l'AFP avoir été empêchée samedi soir de prendre l'avion pour les Etats-Unis. Elle avait vendu sa maison et voulait partir définitivement dans ce pays.Au Caire, un couple irakien et leurs deux enfants qui avaient réservé des billets sur un vol d'EgyptAir ont été informés qu'ils ne pouvaient pas embarquer en raison des nouvelles règles. Fouad Charef, qui travaille dans le secteur pharmaceutique, a dû ainsi retourner à Erbil, au Kurdistan irakien. "J'ai vendu ma maison, ma voiture, mes meubles. Ma femme et moi avons quitté nos emplois", a-t-il raconté à l'AFP, alors que le couple devait s'installer dans le Tennessee, dans le sud des Etats-Unis, après avoir reçu un visa d'immigration. "Donald Trump a ruiné ma vie", dit-il, affirmant qu'il avait mis, à une époque, sa "vie en danger pour travailler avec les Américains."
Décret anti-réfugiés de
Trump : des associations portent plainte
Des associations de défense des droits civiques ont
attaqué en justice le décret interdisant l'entrée de ressortissants de certains
pays musulmans aux États-Unis.
Source AFP
Modifié le
29/01/2017 à 09:10 - Publié le 28/01/2017 à 17:30 | Le Point.fr
Le président
Donald Trump a signé vendredi un décret interdisant l'entrée des ressortissants
de sept pays musulmans sur le sol des États-Unis pendant trois mois. © DPA /
dpa Picture-Alliance/AFP/ Albin Lohr-Jones
Les associations de défense des droits civiques américaines ont sorti
les crocs samedi. Plusieurs d'entre elles, dont la puissante ACLU, ont attaqué
en justice le décret de Donald Trump interdisant l'accès aux États-Unis
de ressortissants de plusieurs pays musulmans. La plainte contre le président
Trump et le ministère de la Sécurité intérieure - dont l'Agence
France-Presse a obtenu copie - a été déposée samedi matin devant un
tribunal fédéral de New York par l'American Civil Liberties Union et d'autres
associations de défense des droits et des immigrés, qui exigent notamment la
libération de deux citoyens irakiens interpellés vendredi soir à l'aéroport JF
Kennedy sur la base du décret qui venait à peine d'être promulgué. Selon le
texte de la plainte, les deux Irakiens interpellés à l'aéroport JFK sont détenteurs de visas leur permettant
d'entrer légalement aux États-Unis. L'un d'eux a travaillé pour des entreprises
américaines et pour le consulat des États-Unis à Erbil, notamment comme
interprète. L'autre devait rejoindre sa femme et son enfant arrivés légalement
aux États-Unis avec le statut de réfugié, après que leur famille eut été
« associée à l'armée américaine » en Irak.
Appel à manifester
Les
associations demandent à ce qu'ils soient relâchés et qu'ils puissent au moins
exercer leur droit de déposer une demande d'asile aux États-Unis pour éviter
d'être renvoyés en Irak, où ils ont de bonnes raisons de craindre pour leur
sécurité. Elles soulignent que leur interpellation sur la seule base du
décret viole le 5e amendement de la Constitution américaine qui protège contre
les abus gouvernementaux et garantit la sécurité juridique de tout
individu. Les associations demandent plus globalement que cette plainte
soit considérée comme une action en nom collectif pour toutes les personnes
dans le même cas qui pourraient être retenues dans des aéroports
américains. Des associations de défense des immigrés ont également lancé
samedi un appel à manifester au terminal 4 de JFK, rapidement relayé sur les
réseaux sociaux.
Deux
représentants démocrates de New York au Congrès, Jerry Nadler et Nydia
Velazquez, se sont également rendus sur place pour essayer de voir les
Irakiens, selon Camille Mackler, une responsable de l'association New York
Immigration Coalition, qui participait à la manifestation. Le texte signé
vendredi par Donald Trump interdit pendant trois mois
l'arrivée de ressortissants de sept pays musulmans : Irak,
Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen. À l'exception de leurs
ressortissants détenteurs de visas diplomatiques et officiels et qui
travaillent pour des institutions internationales. Washington va aussi arrêter
pendant quatre mois le programme fédéral d'admission et de réinstallation de
réfugiés de pays en guerre, toutes nationalités confondues. Enfin, les réfugiés
syriens sont interdits d'entrée jusqu'à nouvel ordre.
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