Tại sao chúng ta bị lừa vì hàng hoá bày bán không có nguồn gốc rõ ràng mà bố ai biết vì nhản hiệu đã được thay tên đổi chỗ.
Kính mời quý anh chị đọc một bài nói về sauce cà tomate bán ra từ nước Ý, sau đó được nhập qua pháp rồi dán nhãn hiệu tây, mà thật sự nó qua từ xứ tàu.
Sau đó mời các anh chị đọc bài của chú Huỳnh Chiếu Đẳng tiếp chuyển về những con cá Formosa mà nhiều nước đang kiện tụng, trong đó có cá nhiễm độc của Việt Nam đã theo mạng thương mại toàn cầu bày bán lại cho dân tây, mỹ.
Khi các anh chị muốn ngưng tệ nạn này thì có cách nào không? trong các nước có quyền bầu cử, lá phiếu của người đi bầu có thể ngăn chận làn sóng toàn cầu thương mại hay chúng ta có thể luôn mở cửa cho mọi thứ, mọi vật tự do vào đất nước mình mà mình bó tay ngồi nhìn mà tự giết mình với hàng hoá độc hại, rẻ tiền.
Kính chúc quý anh chị luôn vạn an, khoẻ mạnh.
Catoline Thanh Hương
La mafia de la tomate
9
milliards d'euros, 5 millions de tonnes de tomates : chaque année la
transformation du fruit rouge en concentré représente un marché très
juteux, sur lequel la Chine est devenue leader.
>Economie|Lilas-Apollonia Fournier|17 mai 2017, 10h40 | MAJ : 17 mai 2017, 10h41|3
ILLUSTRATION. En Italie, l'industrie de la tomate a été phagocytée par la mafia, dénonce le journaliste Jean-Bapstiste Malet AFP
Lilas-Apollonia Fournier
Un livre qui sort aujourd'hui dénonce la mainmise d'organisations criminelles sur l'industrie de la tomate en Italie.
«La
tomate d'industrie est un produit de marchandise de prédilection des
mafias.» C'est le constat pour le moins surprenant fait par
Jean-Baptiste Malet, au terme d'une enquête de deux ans et demi menée
dans le monde entier. Dans son livre «l'Empire de l'or rouge : Enquête
mondiale sur la tomate d'industrie», le journaliste décrit une
agriculture italienne en partie contrôlée par les mafias.
Royaume
du «pomodoro», la péninsule est un grand producteur de tomates
d'industrie. Elle en importe aussi en quantité, pour la fabrication de
sauces, de concentrés ou de tomates pelées qui serviront par exemple à
la création du ketchup. Transformées dans le pays, ces conserves seront
ensuite étiquetées «produites en Italie» alors qu'elles peuvent contenir
des tomates de Californie, d'Espagne... et de Chine ! «Les
consommateurs ne savent pas ce qu'ils mangent à cause des pratiques
opaques des conserveries», affirme le journaliste.
Une «agromafia» bien installée
Le
manque de frontières douanières, les rares contrôles sur le port de
Salerne, au sud de Naples, l'un des points névralgiques de
l'import-export italien, ainsi que le prestige dont bénéficient les
produits «made in Italy» ont permis aux mafias de développer un «tomato
business» très rentable. Et relativement sûr, les peines encourues pour
faux étiquetage de conserves de tomates étant bien moins lourdes que
pour le trafic de drogue.
«La criminalité dans l'agroalimentaire a pris une telle ampleur en Italie que les institutions la désignent sous le terme d' agromafia»,
explique Jean-Baptiste Malet. Grâce aux produits alimentaires
typiquement italiens, tels que la tomate, la charcuterie ou l'huile
d'olive, les mafias se sont emparées de ce secteur pour diversifier
leurs activités et blanchir de l'argent. la Camorra (Campanie), Cosa Nostra (Sicile) ou la Sacra Corona Unita (Pouilles) contrôlent des territoires où l'agromafia prospère.
Exploitation des travailleurs migrants
«Leur
chiffre d'affaires dans ce secteur est estimé à 15,4 Mds€ en 2014,
poursuit Jean-Baptiste Malet. Il n'a jamais été aussi facile pour les
entreprises criminelles de faire fructifier des capitaux sales»,
assure-t-il. Selon un rapport de la Coldiretti (Confédération italienne
des agriculteurs directs), 5 000 restaurants italiens seraient liés à
des groupes mafieux. Le marché continue de prospérer grâce à l'un de ses
piliers, l'exploitation des travailleurs migrants,
comme le dénonce un rapport d'Amnesty International. «La quasi-totalité
des Africains, Bulgares et Roumains qui travaillent dans les récoltes,
notamment dans la province de Foggia (Pouilles), ne sont pas
déclarés», raconte Jean-Baptiste Malet. Les ouvriers étrangers gagnent
«entre 1,16 et 1,33 centime d'euro par kilo de tomates ramassé».
Certains
industriels, comme le géant Giaguaro, ont été inquiétés par la justice
pour un réseau de production de faux concentré fabriqué à partir de
déchets de tomates en 1997 et 2007. Aujourd'hui, «la marque est
distribuée chez Carrefour, Leclerc, Auchan, Casino et Monoprix», précise
le journaliste. Cependant, rien ne prouve que cette marque — ni
d'autres conserveries italiennes — ait des activités liées aux réseaux
criminels. A ce jour, aucune condamnation n'a été prononcée.
«Derrière ce produit banal, une violence extrême»
On
a tous dans notre placard une boîte de concentré de tomates, du ketchup
ou une délicieuse sauce provençale. Mais savons-nous exactement ce qui
rentre dans leur composition ? Le journaliste Jean-Baptiste Malet s'est
intéressé à ce marché lucratif lors d'un reportage dans le sud de la
France. Il a découvert que l'usine de sauce tomate française le Cabanon
avait été détenue pendant une dizaine d'années par... l'armée chinoise !
En tirant le fil de cette drôle d'histoire, il a pénétré les arcanes
d'un marché mondial extrêmement lucratif où la Chine et l'Italie jouent
des rôles majeurs.
Ramassées par des enfants chinois
«Chaque
année dans le monde, 5,5 kg de tomates par personne sont consommés»,
avance Jean-Baptiste Malet. Le secteur de la tomate d'industrie
représente près de 4 000 Mds$ (3 600 Mds€). Loin de ressembler à celles
de notre jardin, les tomates d'industrie sont «hybrides, poussent sous
la terre et ont la peau plus épaisse», raconte le journaliste.
Pour
son enquête, il a décortiqué toute la chaîne de production, du
cueilleur à bas prix dans la province de Wusu, en Chine, jusqu'aux
grands industriels aux Etats-Unis. Dans cette région chinoise, enfants
et adolescents sont employés pour ramasser les fruits, pour environ 24
€/jour.
«Derrière ce produit banal se cache une violence
extrême», raconte le journaliste toulonnais. Avec ce livre,
Jean-Baptiste Malet entend alerter les consommateurs sur le manque de
normes quant à la traçabilité des produits. «Les industriels font leur
loi ! regrette-t-il. Dans votre supermarché, vous verrez peut-être que
le concentré a été, par exemple, produit en Italie mais vous ne
connaîtrez pas l'origine des tomates.» Pire, en Afrique de l'Ouest, on
trouve des conserves faites à base de barils périmés, d'additifs et de
colorants, vendues beaucoup moins cher. On ne regardera plus le ketchup
de la même manière.
«L'Empire de l'or rouge : Enquête mondiale sur la tomate d'industrie», de Jean-Baptiste Malet, Fayard, 288 pages, 19 €.
Ce poisson populaire au supermarché est dangereux à la consommation humaine. Vous êtes prévenus !
Par : Adam YogaPublié le : 15 mai 2017
Le poisson est parmi les aliments les plus sains à intégrer
dans son régime alimentaire. En plus d’apporter au corps de nombreux
nutriments essentiels à son bon fonctionnement, il permet aussi de
prévenir plusieurs maladies grâce à sa composition. Mais encore faut-il
choisir le bon type de poisson, parce que certaines espèces d’élevage,
surtout, peuvent présenter un réel danger pour la santé. C’est le cas
notamment du tilapia, l’un des poissons les plus populaires.
Le
tilapia est considéré comme l’un des poissons les plus consommés dans
le monde. C’est un poisson à la chair blanche et ferme et qui se
distingue par son goût neutre et son temps de cuisson rapide. Il
représente donc le poisson de choix pour les personnes pressées !
Ce poisson est aussi très intéressant d’un point de vue
nutritionnel, puisqu’il est très riche en vitamine D et en vitamines du
groupe B ainsi qu’en minéraux – phosphore, sélénium et magnésium. Le tilapia c’est aussi une excellente source de protéines de haute valeur biologique ainsi que d’acides gras oméga-3 et oméga 6.
Le tilapia est également très réputé pour sa rapide reproduction,
ce qui en fait un poisson d’élevage par excellence. En effet, la
production du tilapia a augmenté de manière considérable durant ces
dernières années. Il est d’ailleurs élevé dans plus de 75 pays, mais la
Chine reste en tête de liste avec près d’un million de tonnes.
Ce poisson qui s’alimente du niveau inférieur de la chaine
alimentaire, s’adapte aux différents environnements et peut vivre en
mer comme en eau douce. En bref, le tilapia est un business très
rentable en matière d’aquaculture, mais à quel prix ?
Le tilapia, un véritable danger pour la santé :
Très abordable, le tilapia est parmi les poissons les mieux vendus
au monde. Bien qu’il présente des qualités nutritionnelles
avantageuses, ce poisson peut présenter un réel danger pour la santé,
selon sa provenance.
En effet, les techniques d’élevage de ce poisson, dans certains
pays, laissent à désirer et sont à l’origine de son effet néfaste sur
la santé. Voici pourquoi le tilapia peut être dangereux :
1 – Les pesticides et antibiotiques :
Dans les fermes piscicoles, les poissons d’élevage sont souvent
entassés dans de petits bassins, chose qui les rend plus susceptibles
aux maladies. Voilà pourquoi les éleveurs ont recours aux antibiotiques
ainsi qu’aux pesticides pour les garder en vie, mais aussi pour lutter
contre les poux de mer. Le tilapia en provenance de Chine est
réputé pour être le plus dangereux, parce qu’en plus de leur méthodes
d’élevage non conformes aux normes européennes, les éleveurs de ce pays
nourrissent ces poissons de déjections de cochons et de volailles,
selon ce qui a été reporté.
2 – Les dioxines :
Ces polluants organiques sont produits suite à un mécanisme de
combustion et peuvent s’amonceler dans la chaîne alimentaire et
finissent dans le corps de l’homme après la consommation d’aliments
contaminés comme les œufs, les viandes et les poissons.
Ces substances sont toxiques et peuvent entrainer plusieurs troubles de santé, notamment le cancer. D’ailleurs le CIRC les a classé comme cancérigènes pour l’Homme.
Les poissons d’élevage en général, sont connus pour contenir de haut
taux de dioxines. Ainsi en les consommant, on s’expose à de fortes
concentrations de ces substances.
3 – Un mauvais rapport Oméga-6/Oméga-3 :
Pour le bon fonctionnement de notre organisme, il est important d’avoir un bon rapport oméga-6/ oméga-3, soit le ratio nécessaire. Normalement, le rapport idéal de ces acides gras devrait être entre 1/1 et 4/1.
Seulement, selon une étude menée par des chercheurs de
l’Université de Wake Forest University School of Medecine en Caroline
du nord, le ratio oméga-6 et oméga-3 du tilapia d’élevage est de 11/1. Or
un niveau élevé d’oméga-6 peut réduire les effets des oméga-3 dans le
corps, ce qui rend le corps plus à risque de développer des maladies
cardiovasculaires et d’avoir des problèmes inflammatoires et
allergiques, notamment l’asthme et le cancer. Les chercheurs ont
d’ailleurs comparé la teneur en gras du tilapia à celle d’un beignet !
Ainsi, le tilapia peut présenter certains risques pour la santé,
surtout s’il est d’élevage. Si vous pouvez vous procurer du tilapia
sauvage, ne vous privez pas de ce poisson, sinon, il est conseillé de
l’éviter ou du moins limiter sa consommation.
Dans les grandes surfaces, faites très attention aux étiquettes
sur les emballages. Dans certains cas, la provenance du poisson peut
être mentionnée.
En général, nous vous conseillons de toujours choisir les poissons
sauvages et ce pour toutes les espèces et évitez de consommer les
poissons d’élevage.
In Bayern sind mehrere Menschen nach dem Verzehr von tiefgefrorenen Red-Snapper-Fischfilets aus Vietnam erkrankt. Das bayerische Verbraucherschutzministerium hat eine Warnung ausgesprochen und prüft nun die Vertriebswege.
Offenbar waren die Red Snapper mit Algentoxinen belastet. (Symbolbild)
Quelle: dpa
München. Nach mehreren Erkrankungen warnt das bayerische Verbraucherschutzministerium vor dem Verzehr eines Fisches aus der Tiefkühltruhe. Red-Snapper-Fischfilet aus Vietnam mit Fanggebiet Westpazifik FAO 71 sowie den Losnummern Lot: VN/385/III/122 und -124 stünden in Verdacht, mit Algentoxinen belastet zu sein. Diese könnten zu Vergiftungen führen, teilte das Ministerium am Mittwoch in München mit. Die betroffenen Chargen sind bis Juli beziehungsweise Dezember 2018 haltbar. Die genauen Vertriebswege werden derzeit ermittelt.
Vergiftung durch Algentoxine
„Nach aktuellem Kenntnisstand sind in verschiedenen Teilen Bayerns elf Erkrankungsfälle nach dem Verzehr (...) aufgetreten“, berichtete das Ministerium. „Die Krankheitssymptome lassen auf eine Ciguatera-Vergiftung durch Algentoxine schließen.“ Zu den Symptomen gehörten heftiges Erbrechen mit neurologischen Auffälligkeiten. Typisch sei die sogenannte Heiß-Kalt-Umkehr, bei der der Betroffene Berührungen mit warmen Gegenständen als kalt und Berührung mit kalten Gegenständen als warm empfindet.
HCD: Những link nầy tiếng Đức, tôi chưa xem thử. ====== Lập lại email hôm qua: Tin VOAHải sản Việt Nam xuất sang Mỹ có thể nhiễm độc sau thảm họa Formosa? Xin đọc thêm chi tiết trong webpage nầy click => http://www.voatiengviet.com/a/hai-san-viet-nam-xuat-sang-my-co-the-nhiem-doc-sau-tham-hoa-formosa/3850009.html Hôm qua thấy cá Formosa đang bán tại Mỹ (đài VOA). Nếu chúng ta vào tiệm ăn thì chắc là được ăn cá Formosa, lý do cá Việt Nam rẻ. Nếu chúng ta mua trong chợ Việt Nam thì có nơi đề trên nhản là cá Việt Nam, có nơi không đề xuất xứ, có nơi thay vì ghi trên nhản Việt Nam thì thay bằng tên những quốc gia khác, chắc chắn là né chữ cá Trung Cộng. Trong siêu thị Mỹ có khi ghi xuất xứ, có khi không ghi xuất xứ. =====
Des sauces italiennes... mais avec des tomates chinoises
La mention «produit en Italie» ne garantit pas l'origine des ingrédients contenus dans la préparation, explique dans Le Parisien-Aujourd'hui en France, Jean-Baptiste Malet qui dénonce dans son livre le système mafieux qui se cache derrière les produits à base de tomates.
Certaines
sauces Italiennes ne le sont pas tant que cela. C'est ce que dévoile le
journaliste Jean-Baptiste Malet dans son livre: L'empire de l'or rouge, dévoilé dans Le Parisien-Aujourd'hui en France
ce mercredi. L'auteur y révèle que l'Italie importe en effet de grandes
quantités de tomates de Chine, de Californie ou encore d'Espagne. Après
avoir été transformées, elles sont conditionnées dans des conserves
portant la mention «produites en Italie», avant d'être vendues dans nos
supermarchés. Pire l'industriel Giaguaro a, par exemple, été inquiété
par la justice pour un réseau de production de faux concentré fabriqué à
partir de déchets de tomates en 1997 et 2007. Pour autant, «la marque
est distribuée chez Carrefour, Leclerc, Auchan, Casino et Monoprix»,
précise le journaliste dans son livre.
Une «arnaque» mise en place par la mafia italienne
Ingrid Kragl de Foodwatch,
une organisation de défense du consommateur, regrette qu'il n'y ait
«pas d'obligation de renseigner l'origine des fruits et légumes qui
composent les plats préparés». «Notre expérience nous montre que les
industriels de l'agroalimentaire jouent souvent sur l'ambiguïté ou les
ruses marketing pour induire le consommateur en erreur. Ainsi, un
produit «fabriqué en France» peut très bien ne contenir que des
ingrédients provenant de partout sauf de France. Il suffit qu'il ait été
assemblé ou emballé en France», explique t-elle au Figaro. Récemment, le mensuel 60 millions de consommateursestimait qu'en France, «une partie de la marchandise viendrait de la fraude par approvisionnement à l'importation».
Il semblerait qu'il en soit de même pour l'Italie. Pour Foodwatch, «ces
pratiques consistent finalement à arnaquer les consommateurs en les
dupant sur la véritable composition des aliments».
Jean-Baptiste
Malet l'assure, c'est la mafia italienne, où plutôt les mafias:
Camorra, Cosa Nostra ou encre Sacra Corona Unita, qui sont derrière ce
«trafic» d'«or rouge». Objectif: blanchir leur argent sans prendre trop
de risques, les peines encourues pour faux étiquetage de conserves ne
sont pas suffisamment dissuasives. Le chiffre d'affaires de ces
organisations est estimé à 15,4 milliards d'euros en 2014, pour ce seul
secteur, explique le journaliste toulonnais. «La criminalité dans
l'agroalimentaire a pris une telle ampleur en Italie que les
institutions la désignent sous le terme d'agromafia», explique t-il.
Il n'y a pas que les tomates chinoises, je vient de
lire un article qui affirme que 90% de la charcuterie corse serait
produite avec de la viande étrangère...
Pas étonnant car je vois de la viande des Grisons made in France dans
les rayons des supermarchés français alors que les Grisons sont un
canton suisse.
Cela me donne l'impression que l'on fraude partout.
Ça fait des années que j'en parles de cette
mondialisation néfastes et des produits de consommation dans nos rayons
transformé. J'ai travaillé dans l'industrie et que ça l'agro-alimentaire
ou pharmaceutique vous ingérer de la m*rd* parce que les enjeux ne sont
pas la santé mais la rentabilité. On reste des ressources, on travaille
on consomme et on est de bon petit citoyens utile.... Ce monde cours
vraiment à sa perte mais personne veut ouvrir les yeux.
C'est pareil pour bien des produits! Perplexité,
lorsqu'en regardant de plus près le bocal de petits pois bio "préparé en
France", on réalise que les petits pois ont été cultivés bien loin de
quelque charmant potager bien de chez-nous.
c'est quoi le probleme ? c'est quand meme pas la
faute aux industriels italien si la tomate chinoise est moins chere ,
transport compris que la tomate italienne
La mafia italienne (mais aussi toutes les autres)
sont les cancers de notre société. Il faut d'urgence lutter encore plus
pour enfin s'en débarrasser, ce sont des pollueurs sans vergogne
(ordures ménagères, déchets toxiques etc), des criminels sans plus aucun
code d'honneur. Aujourd'hui ils tuent des enfants pour un bout de shit
ou 3 grammes de cocaïne perdus. Vous avez entendu parler du scandale de
la mozzarella ?
Les mafia gangrènent l'ensemble de nos sociétés,
volent les ressources des états et des gens, exploitent, polluent,
détruisent, tuent, rendent malade, elles participent largement aux
crises économiques, humaines et environnementales.
A noter que depuis que l'Italie essaye de mieux lutter contre les
siennes celles-ci déménagent dans d'autres pays plus laxistes (car plus
naïf), dont l'Allemagne par exemple.
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