caroline thanh huong

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dimanche 30 juillet 2017

Luật Rừng./ Chém Đẹp vô Nhà Nghèo.

Nói một đằng, làm 1 nẻo/ Luật cho người khác chấp hành chứ 0 phải luật cho nhà họ vua.

Nhà báo nói thì mặc nhà báo.
Quốc hội thông qua luật không cho phép thâu người trong gia đình làm việc cho các ngài nghị sĩ, thượng viện...
Luật vừa tuyên bố xong thì 1 người chưa bao giờ được bầu lên 1 chức vụ nào hay có 1 quyền hạn nào thì lại được phong bì để nhận tiền trả lời thư người ta viết cho mình.
Mời quý anh chị đọc tin chính trị thật lạ của chính phủ mới.
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Caroline Thanh Hương

Brigitte Macron 1, France insoumise 0

Paris Match||Mis à jour le
Emmanuel et Brigitte Macron après le défilé du 14 juillet, à Paris. REUTERS/Gonzalo Fuentes
 
 

Plus de 100 000 signatures contre le statut de Première dame de France

Emmanuel et Brigitte Macron à l'Elysée le jour de  la passation de pouvoir. / Photo AFP.
Emmanuel et Brigitte Macron à l'Elysée le jour de la passation de pouvoir. / Photo AFP.
«Créer un véritable statut de Première dame de France». Cette promesse de campagne qui fait actuellement l'objet de la rédaction d'une charte est vivement contestée.
C'est, si l'on peut dire, une promesse de campagne d' Emmanuel Macron que beaucoup ne lui reprocheraient pas de n'avoir pas tenue… Entre les deux tours de l'élection présidentielle, le candidat avait annoncé son intention de donner un véritable statut à la Première dame de France. Mais de toute évidence, cette proposition qui fait actuellement l'objet de la rédaction d'une charte pour encadrer les activités de l'épouse ou la compagne du président de la République, ne fait pas l'unanimité. Lancée voilà seulement deux semaines, une pétition «contre le statut de Première dame pour Brigitte Macron», diffusée sur Change.org a déjà recueilli plus de 115 000 signatures.
Thierry Paul Valette, auteur de la pétition et fondateur de l'Égalité nationale, mouvement de lutte contre la corruption, considère «qu'il n'y a aucune raison pour que l'épouse du chef de l'État puisse obtenir un budget sur les fonds publics». Le projet passe d'autant plus mal que le gouvernement demande des économies et que les parlementaires ont voté l'interdiction des emplois familiaux à l'Assemblée et au Sénat.

Une rencontre avec Emmanuel Macron ?

Thierry Paul Valette qui se présente comme «un artiste peintre» et «un citoyen engagé», conteste tout autant le fond que la forme de ce projet. Sur le fond, il estime «qu'en période de moralisation de la vie politique française, nous ne pouvons décemment cautionner l'initiative d'un statut spécifique pour l'épouse du Président Macron. Nous ne sommes pas aux États-Unis, nous avons nos valeurs et notre fonctionnement, déplore Thierry Paul Valette».
Sur la forme, il considère que «la question du statut de la première dame doit être tranchée dans le cadre d'un référendum et ne pas être le fait d'un seul homme».
Dans son discours devant le Congrès, le 3 juillet dernier à Versailles, le chef de l'Etat avait exprimé son souhait «que le droit de pétition soit revu, afin que l'expression directe de nos concitoyens soit mieux prise en compte et que les propositions des Français puissent être présentées, dans un cadre défini et construit, à la représentation nationale». «Chiche !», lui répond aujourd'hui Thierry Paul Valette qui espère même être reçu par le président de la République afin de lui exposer son point de vue.

«Elle ne sera pas rémunérée par le contribuable»

Le jeudi 27 avril sur TF1, Emmanuel Macron avait indiqué vouloir créer un véritable statut pour la Première dame afin de «sortir d'une hypocrisie française. «Nous en définirons le cadre si je suis élu dans les premières semaines et elle en décidera», avait déclaré le candidat, précisant «qu'elle ne sera pas rémunérée par le contribuable parce que je ne l'ai jamais fait. Je pense qu'il faut s'en tenir à cette règle, mais elle aura une existence, une voix, un regard. Elle aura un rôle public parce qu'il en est ainsi et c'est une attente». Contesté par pétition, le projet fait également des remous dans les rangs des députés de l'opposition.

Une ambiguité institutionnelle

A ce jour, la Première dame de France ne dispose d'un statut officiel, exception faite du cadre protocolaire, quand le couple présidentiel se déplace à l'étranger par exemple. Néanmoins, mettre à la disposition de la compagne ou de la femme du président un secrétariat, un chef de cabinet et des officiers de sécurité à l'Elysée est devenu une sorte de tradition de la Ve République. Dans le cas de Valérie Trierweiler par exemple, l'ex-compagne de François Hollande disposait d'un cabinet et la rémunération nette de ses cinq collaborateurs s'élèvait à un total de 19 742 euros par mois.
Dân nghèo không tiền mua xe mới càng khổ thêm với luật mới kiểm tra mỗi 2 năm xe cũ.



Avec l'entrée en vigueur, en mai prochain, d'une nouvelle directive européenne, la facture du contrôle technique automobile pourrait singulièrement augmenter.


Contrôle technique: pourquoi les tests devraient être plus chers en 2018

Par LEXPRESS.fr , publié le , mis à jour à


En mai 2018, le nombre de critères vérifiés pendant un contrôle technique automobile doit passer de 124 à plus de 400 points.
En mai 2018, le nombre de critères vérifiés pendant un contrôle technique automobile doit passer de 124 à plus de 400 points.
afp.com/Mychele Daniau


Avec l'entrée en vigueur, en mai prochain, d'une nouvelle directive européenne, la facture du contrôle technique automobile pourrait singulièrement augmenter.

Avant de prendre la route des vacances ce week-end, de nombreux automobilistes ont sans doute procédé à une série de vérifications d'usage (niveau d'huile, pression des pneus, etc.). Ceci sera cependant sans commune mesure avec ce qui les attend à partir de mai 2018, lorsque les conditions du contrôle technique automobile seront considérablement musclées.
À cette date, une directive européenne datant de 2014 sera mis en application. Les nouvelles règles prévoient de multiplier le nombre de points de contrôle afin de tendre vers un objectif "zéro décès" dans les transports routiers à l'horizon 2050.
Pour ce faire, comme l'indique Europe 1, 400 critères feront désormais l'objet de tests, contre 124 actuellement.

Défauts critiques et interdiction de circulation en hausse

Mais ce n'est pas tout: les sanctions auxquelles s'exposent les conducteurs seront beaucoup plus dures avec l'apparition de 126 défauts critiques, qui entraîneront l'interdiction immédiate de circuler d'un véhicule.
Dans un dossier publié en avril dernier, le magazine Auto Plus avait en outre indiqué que les conditions de contre-visite seront elles aussi considérablement durcies. Actuellement, l'automobiliste dispose d'un délai de deux mois, avant de passer une contre-visite pour réévaluer une défaillance.
Avec l'entrée en vigueur de la nouvelle directive, si une "défaillance critique" est repérée à partir de mai 2018, l'automobiliste ne disposera plus que d'une journée pour se rendre immédiatement chez le garagiste... sous peine de recevoir également une amende de 135 euros, comme le précise 20 Minutes.

Des conséquences sur les tarifs encore à déterminer

Difficile, dans ces conditions, d'éviter une hausse des prix pour ce type de visites chez le garagiste.
Interrogé par Le Parisien à ce sujet, Bertrand Billaud, président de la branche contrôle technique de la Fédération nationale de l'artisanat automobile (FNAA), considère que la durée allongée du contrôle, les plus grosses responsabilités des contrôleurs et leur meilleure qualification pourraient avoir des conséquences directes sur la facture à régler. Tout comme l'augmentation du nombre de contre-visites. Il se garde cependant de donner une première estimation de cette hausse.
"Il y aura beaucoup plus de points soumis à contre-visite, on va passer beaucoup plus de temps" sur chaque contrôle, confirme la même source à l'AFP. Avant de préciser que "chaque gérant de centre gère ses tarifs, on ne sait pas dans quelle mesure les tarifs vont augmenter".

L'agrément de contrôleur automobile plus difficile à obtenir

Une chose est cependant certaine. Jusqu'à présent, il était possible d'obtenir l'agrément de contrôleur automobile avec un diplôme de niveau CAP. A partir de la directive européenne, "il faudra obligatoirement un niveau 4 (Bac Pro)", indique Bertrand Billaud.
Aujourd'hui, selon Ouest-France et Le Parisien, les tarifs varient en fonction des types de véhicule et des lieux : d'environ 50 à 75€ pour un véhicule léger essence; de 55 à 85€ pour un véhicule léger diesel. La facture peut toutefois monter jusqu'à 100 euros pour un utilitaire. La France compte actuellement 6 500 centres de contrôle technique automobile.

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