Bảo vệ việc làm, bảo vệ kinh tế nơi chúng ta đang sinh sống cho đời sau của chúng ta.
Hôm nay chúng ta trở lại với chuyện kinh tế trên nước pháp.
Dưới đây là những tin mới nhận được từ báo điện tử, cho thấy tình hình ngày càng nghiêm trọng trong những việc làm đã và đang biến mất theo thời gian không riêng gì ở nước pháp mà sẽ lan rộng ra khắp các cường quốc.
Kính mời quý anh chị thường xuyên theo dỏi đời sống kinh tế để thấy tại sao chúng ta phải quan tâm.
Cho dù quý anh chị đã ở tuổi hưu hay còn đi làm thì chuyện tiền lương hay pension hưu hay tiền già của chúng ta nhận được đều là những mạch máu của nền kinh tế quốc gia chúng ta đang ở.
Thế hệ của chúng ta may mắn còn nhà cửa, việc làm , nhưng thế hệ con cháu chúng ta thì sao?
Sous-vêtements Dim: le propriétaire de la marque envisage de supprimer 400 emplois en France
AFP
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ÉCONOMIE - Le groupe textile américain HanesBrands (HBI),
propriétaire des marques de sous-vêtements Dim, Playtex et Wonderbra,
envisage de supprimer quatre cents emplois en France, annonce Le Parisien mardi 7 avril.
"Hanes envisage de supprimer 400 emplois dans toutes ses implantations
en France dont 160 au minimum à Autun (Saône-et-Loire) où Dim emploie
actuellement 1010 personnes", indique le quotidien.
"Les 400 suppressions d'emplois devraient être officialisées dans les prochains jours", selon Le Parisien
qui explique que les suppressions d'emplois envisagées seraient
"d'abord des départs volontaires ou des départs en préretraite, dans le
cadre d'un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) qui reste à définir".
A
Autun, où a été fondé Dim en 1956, "les suppressions d'emplois ne
concerneraient ni la fabrication des collants et des bas ni le C3D, qui
assure la logistique pour l'Europe. En revanche, les 160 suppressions de
postes frapperaient tous les autres corps de métier", précise le
journal. En septembre 2014, le fonds d'investissement américain Sun
Capital Partners avait cédé le groupe de sous-vêtements DBApparel qui
compte les marques Dim, Playtex et Wonderbra, au groupe de textile
américain HanesBrands (HBI) pour 400 millions d'euros. Lire aussi : » Le transporteur MoryGlobal liquidé, 2150 salariés bientôt licenciés » 1000 recrutements en CDI chez Renault, 2000 suppressions de postes chez Total
La Halle et André (groupe Vivarte) s'apprêtent à licencier 1600 personnes et à fermer 208 magasins
PRET-A-PORTER - La direction du groupe Vivarte (enseignes La
Halle, André, Kookaï...), qui emploie plus de 17.000 salariés en France,
a annoncé le 7 avril la suppression de 1600 postes, essentiellement
dans ses magasins La Halle aux Vêtements, ont indiqué des sources
syndicales.
Lors de comités centraux d'entreprises (CCE) dans les
enseignes, la fermeture de 174 magasins La Halle aux Vêtements (sur
620), s'accompagnant de 1500 suppressions de postes, a été annoncée.
Trente-quatre magasins André seront aussi fermés, avec une centaine de
suppressions de postes, selon les sources syndicales.
A
La Halle, la majorité des postes concernés sont dans les magasins, mais
la logistique (75) et le siège (147) sont aussi touchés, a indiqué
Karim Cheboub, secrétaire adjoint CGT au comité de groupe. Selon Gérald
Gautier, représentant syndical FO du groupe Vivarte, la direction a
annoncé que 23 magasins supplémentaires La Halle pourraient être fermés,
faute de repreneurs.
Cette vague de licenciement était attendue depuis plusieurs mois. Le 12 mars, le site spécialisé LSA
évoquait déjà la possible fermeture de 220 boutiques et la suppression
de plus de 1000 emplois. A fin août 2014, le chiffre d'affaires de la
Halle était "en chute libre" de 13% sur un an, tombant en-dessous de 600
millions d’euros.
Confronté au recul de ses ventes depuis
plusieurs années, Vivarte a récemment changé de direction après avoir
restructuré une dette de 2,8 milliards d'euros. A l'occasion de cette
restructuration, le groupe a changé d'actionnaires de référence, en
faisant entrer les fonds Alcentra, Babson, GoldenTree et Oaktree au sein
de son conseil d'administration. En clair, Vivarte est passé entre les
mains de ses créanciers.
Les syndicats mettent notamment en avant,
pour expliquer les difficultés du groupe, la volonté de l'ancienne
direction de repositionner La Halle vers le moyen de gamme. "On s'est
éloigné de notre clientèle habituelle populaire", a observé M. Cheboub.
Son homologue FO a fait valoir aussi le "plus d'un milliard d'euros
d'intérêts versés aux actionnaires".
ÉCONOMIE - Avec des effectifs s'élevant à 492.608 salariés,
le secteur agroalimentaire est le premier secteur industriel en France
en termes de chiffre d'affaires et d'emplois. Ce phénomène est un point
central de notre économie même si parfois méconnu.
L'idée répandue était que ce secteur avait la capacité de générer des résultats très significativement positifs.
La
tendance de l'évolution de ces dernières années a été marquée par une
érosion progressive de nos avantages compétitifs en ce domaine,
notamment dans la production des matières premières agricoles, et a
transformé les excédents en déficit.
Il ne reste que deux domaines
de production pour porter le secteur: celui des spiritueux, des vins de
qualité et celui de l'industrie fromagère par la production de fromages
de qualité. Dans tous les autres domaines la France a perdu pied, que
cela soit dans le viande bœuf, de volaille, dans tout ce qui était
matière première agricole et alimentaire la France à chuter de partout.
Les
autres domaines, qu'il s'agisse de la production de viande de bœuf, de
volaille, de tout ce qui était la matière première agricole et
alimentaire, accusent une chute marquée de leur production. La France a
perdu pied. La situation est masquée par les bons résultats du domaine
des vins qui permet encore une balance globale alimentaire positive. La
France, pays agricole, présenterait sans ce domaine particulier un bilan
déficitaire.
L'absence de choix de la dernière décennie sera
lourde de conséquences. Il aurait fallu choisir entre développer une
agriculture de qualité prolongée par un secteur agroalimentaire fondé
sur la diversité, proposant du bio, du haut de gamme ou entre la
préservation des commodités en produisant des matières premières
agricoles, choix qui demandait une réglementation du coût du travail, et
favoriser les grandes unités de production.
De l'hésitation
durable entre les deux stratégies résulte le pire. On assiste à
l'effondrement de ce secteur d'activité qui aurait pu être un moteur
essentiel pour notre économie.
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