Có ai ngờ đột nhiên giá cả xăng và chất đốt tự nhiên bị sụt giá với nhu cầu luôn gia tăng.
Có ai ngờ tiền đang nắm trong tay hay đang cất trong kho, ngân hàng bỗng dưng thành những mảnh giấy vụn.
Có ai ngờ một xứ cộng sản lại có thể trở thành 1 chủ nợ và từ hàng hoá rẻ, tiền công nhân rẻ, các nước lại đua nhau giao cho mạch sống của họ vào tay một nước mà ai ai cũng không biết nên thương hay ghét...
Giờ đây, có muốn hay không trao đổi kinh tế với các nước này, xã hội toàn thế giới có thể tự cung cấp nhu cầu cho mình được hay không?
À há, người ta đánh và chiếm không tốn 1 cây súng, 1 viên đạn, 1 anh lính, một giọt máu không phải 1 nước nhỏ như VN mà còn nhiều nước đàn anh...
Có phải cười người chớ có cười lâu hay không?
Chúng ta có chuẩn bị gì cho con cháu mình ngày mai chưa ?
Hay tiếp tục là thị trường tiêu thụ và con nợ cho các chủ nhà băng vì nhu cầu có khi không cần thiết?
1 chút suy tư để hành động hay nhắc nhở con cháu mình sự kiện trước mắt.
Caroline Thanh Hương
Par latribune.fr | La Tribune – il y a 9 heuresLa monnaie russe subie les sanctions internationales après l'implication de Moscou dans la crise ukrainienne, mais également l'effondrement des cours du pétrole (-44% depuis juin).
Action massive
La banque centrale russe semble impuissante face à la débâcle du rouble, et ce malgré toutes ses interventions. Depuis le début du mois de décembre, elle a ainsi injecté 6 milliards de dollars, sans être parvenu à enrayer la chute du rouble. Jeudi 11 décembre, elle a également annoncé une hausse de ses taux d'intérêt portant le taux directeur à 10,5%. Celui-ci n'était que de 5,5% en début d'année.Dans le même temps, Vladimir Poutine a décidé d'agir en proposant une "amnistie totale" pour encourager le retour des capitaux. Le président russe a également annoncé un gel de la fiscalité pendant quatre ans.
Les autorités dépassées
La Banque centrale a donc agi massivement, malgré l'ordre qui lui avait été donné en novembre de limiter les injections de liquidités afin de préserver les réserves de changes, et d'agir de manière ponctuelle. Il faut dire que depuis le début de l'année, l'institution monétaire a puisé près de 80 milliards de dollars dans les réserves. Celles-ci s'élèvent désormais à 430 milliards de dollars.Désormais, les investisseurs ont le sentiment que la situation est hors de contrôle pour la banque centrale comme pour le Kremlin, ce qui renforce encore leur défiance sur la devise.
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Pour sauver le rouble, la Russie a injecté des milliards de dollars Le plan de Poutine pour sauver le rouble Le rouble a perdu un quart de sa valeur en un mois Ukraine, pétrole, sanctions internationales... Le rouble ploie sous la pression
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Chute du rouble : la Russie peut-elle encore s’en sortir ?
Cette dégringolade continue ravive le souvenir de 1998, lorsque l’effondrement du rouble avait conduit, en quelques jours, à un défaut de la Russie sur sa dette.
Le rouble a chuté de 20% mardi 16 décembre. RAMIL SITDIKOV/RIA NOVOSTI
Le rouble continue sa descente aux enfers. Après sa chute de près de 10% lundi, la monnaie russe s’est effondrée de 20% mardi 16 décembre, atteignant de nouveaux records de faiblesse face au dollar (80 roubles pour un dollar) et à l’euro (100 roubles pour un euro). Il s’agit d’un choc d'une ampleur qui n'avait plus été observée depuis 15 ans. Depuis le début de l'année, le rouble a cédé près de la moitié de sa valeur face au dollar. Cette
dégringolade continue ravive le souvenir de 1998, lorsque
l’effondrement du rouble avait conduit, en quelques jours, à un défaut
de la Russie sur sa dette. Tour d’horizon des questions que pose cette crise.
La chute du pétrole contribue aussi fortement à cette crise. Mardi, le baril de Brent a plongé sous les 60 dollars pour la première fois depuis juillet 2009. "C’est une très mauvaise nouvelle pour la Russie qui en est extrêmement dépendante, analyse François Chevallier, en charge de la stratégie à la Banque Leonardo. Cela va lui faire perdre d’énormes recettes".
En effet, la Russie tire de l’or noir la moitié de ses revenus budgétaires. Et la banque centrale a dressé lundi un tableau noir de l’année à venir, avertissant que le produit intérieur brut du pays pourrait chuter de 4,5% à 4,8% si les prix du pétrole se maintiennent autour de 60 dollars le baril. Le gouvernement russe prévoit d’ailleurs une récession en 2015 (-0,8 %), après une croissance d’environ 0,6 % cette année.
D’autres facteurs, comme une série de sanctions européennes et américaines sans précédent contre Moscou dans le cadre de la crise ukrainienne, plombent l’économie russe. "Il est vrai que les banques occidentales ont la trouille du gouvernement américain et ne prêtent quasiment plus à la Russie en dollars, soutient Jacques Sapir. Mais ces sanctions n’ont que peu d’impact par rapport à la spéculation et à la baisse du prix du pétrole".
La Russie est aussi confrontée à un départ des capitaux : 128 milliards de dollars (103 milliards d’euros) se sont "envolés" en 2014, selon la Banque centrale de Russie (BCR).
Cette chute du rouble corrélée à la baisse du prix du pétrole a également eu des conséquences en France et en Allemagne. Signe de l’inquiétude des investisseurs, les actifs les plus sûrs comme les dettes des Etats connaissent une forte demande. Les taux d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne (0,601%) et de la France (0,877%) ont ainsi touché mardi de nouveaux plus bas historiques sur le marché obligataire.
Le site Lenta.ru, a d’ailleurs calculé qu’avec un taux directeur à 17%, un crédit immobilier sera ainsi désormais accordé avec un taux d'au moins 22%, un niveau difficile à tenir par des ménages au pouvoir d'achat malmené par la hausse des prix.
Dans ce contexte, l'idée d'introduire des restrictions sur les mouvements de capitaux est de plus en plus évoquée. "C’est la meilleure solution même si cela peut avoir un coût politique", répond Jacques Sapir. "C’est un peu la dernière arme qu’il reste à la Russie mais ce n’est pas un très bon signal car c’est un message de fermeture et cela ne redonnera pas confiance en la monnaie russe", souligne François Chevallier.
Autre hypothèse : faire intervenir la Banque centrale de Chine. "La Banque centrale de Russie peut s’entendre avec la Banque centrale de Chine et injecter d’énormes quantités de dollars, c’est-à-dire entre 100 et 120 milliards de dollars en quelques semaines, imagine Jacques Sapir. Elle prendrait alors les spéculateurs à contrepied et leur ferait perdre beaucoup d’argent. C’est toutefois peu probable car le gouvernement russe n’acceptera sans doute pas de se mettre dans la main des Chinois".
Vladimir Poutine devrait apporter un début de réponse à ces questions jeudi. Le chef de l'Etat russe doit passer un grand oral devant des centaines de journalistes russes et étrangers qui devrait faire la part belle à la situation économique.
De Londres à Moscou en passant par Francfort, toutes les places européennes reculaient, imitant celles du Japon et du Moyen-Orient.
Craintes pour l’Europe, incertitudes en Grèce, économie russe malmenée, chute du pétrole : à deux semaines de la fin de l’année, la conjonction de ces éléments crée un cocktail détonnant sur les marchés mondiaux.
Même si le rythme est beaucoup plus lent que les mois précédents grâce au secteur des services, les investisseurs voient le verre à moitié vide. Ils sont de nouveau très pessimistes sur les perspectives de croissance en zone euro, où la menace déflationniste semble chaque jour un peu plus proche.
Un pays a par ailleurs mis le feu aux poudres : la Grèce, entré dans une nouvelle période d’instabilité politique après que le premier ministre conservateur, Antonis Samaras, a décidé de convoquer des élections présidentielles anticipées, pour mercredi 17 décembre.
Les marchés craignent, dans cette hypothèse, un détricotage des mesures de réforme entreprises depuis 2010, en échange de 240 milliards d’euros de prêts à la Grèce par ses créanciers internationaux. Et un réveil des vieux démons de la crise des dettes souveraines de 2010-2011.
Pour ne rien arranger, le ralentissement du moteur chinois, déjà reflété par de mauvais indicateurs la semaine dernière, semble se poursuivre : sa production manufacturière (l’indice PMI des directeurs d’achats de la banque HSBC) s’est contractée en décembre, touchant son plus bas en sept mois.
C’est l’annonce d’une contraction de la production manufacturière chinoise en décembre qui a déclenché cette nouvelle baisse.
Les cours de l’or noir ont plongé de près de moitié depuis le début de l’année, plombés par une offre surabondante et une croissance de la demande faible : le moteur chinois n’en finit pas de ralentir, tandis que les pays producteurs, OPEP en tête, refusent de réduire leur production afin de préserver leurs précieux pétrodollars.
À moyen terme, cette décrue devrait s’avérer bénéfique pour les entreprises, en dopant leurs marges, et pour les consommateurs, qui regagneront un peu de pouvoir d’achat. Mais, dans l’immédiat, les intervenants y voient le reflet de l’anémie de la croissance mondiale.
De plus, ils sont forcés de se couvrir contre ces fluctuations inopinées en vendant d’autres types d’actifs, ce qui alimente le cercle vicieux du plongeon des marchés.
La monnaie russe avait perdu lundi près de 10 % de sa valeur, un plongeon d’une ampleur plus vue depuis la période suivant le placement de la Russie en défaut de paiement en 1998.
La banque centrale avait réagi en annonçant une hausse spectaculaire de son taux directeur, à 17 % contre 10,5 % auparavant en plein milieu de la nuit. L’économie russe pâtit des sanctions économiques liées à la crise ukrainienne et de la chute des cours du pétrole.
Autre explication : l’attentisme des intervenants. Mercredi est en effet une date à haut risque : c’est le jour de la réunion du comité de politique monétaire (FOMC) de la banque centrale américaine (Fed), et celui des élections en Grèce.
« Comme la semaine est très chargée, la prudence l’emporte à un moment où les investisseurs refusent d’acheter et donc de prendre des risques, à deux semaines de la fin de l’année » confirme Aurel BGC.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/12/16/les-raisons-de-la-degringolade-des-bourses-mondiales_4541251_3234.html#z5ppbRhgkfpHciDt.99
1. Pourquoi le rouble s’effondre ?
La chute de la monnaie russe tient principalement à trois facteurs : la spéculation contre le rouble, le recul du prix du baril de pétrole et les sanctions occidentales prises contre la Russie en raison de son rôle dans la crise ukrainienne. "L’élément fondamental de cet effondrement est d’abord la très grosse spéculation contre la monnaie russe, juge l’économiste Jacques Sapir. Depuis plusieurs semaines mais surtout depuis vendredi 12 décembre, on assiste à un fort mouvement spéculatif contre le rouble et cela émane pour une bonne partie de spéculateurs russes."La chute du pétrole contribue aussi fortement à cette crise. Mardi, le baril de Brent a plongé sous les 60 dollars pour la première fois depuis juillet 2009. "C’est une très mauvaise nouvelle pour la Russie qui en est extrêmement dépendante, analyse François Chevallier, en charge de la stratégie à la Banque Leonardo. Cela va lui faire perdre d’énormes recettes".
En effet, la Russie tire de l’or noir la moitié de ses revenus budgétaires. Et la banque centrale a dressé lundi un tableau noir de l’année à venir, avertissant que le produit intérieur brut du pays pourrait chuter de 4,5% à 4,8% si les prix du pétrole se maintiennent autour de 60 dollars le baril. Le gouvernement russe prévoit d’ailleurs une récession en 2015 (-0,8 %), après une croissance d’environ 0,6 % cette année.
D’autres facteurs, comme une série de sanctions européennes et américaines sans précédent contre Moscou dans le cadre de la crise ukrainienne, plombent l’économie russe. "Il est vrai que les banques occidentales ont la trouille du gouvernement américain et ne prêtent quasiment plus à la Russie en dollars, soutient Jacques Sapir. Mais ces sanctions n’ont que peu d’impact par rapport à la spéculation et à la baisse du prix du pétrole".
2. Quelles conséquences ?
Pour les ménages, les conséquences de l'affaiblissement de la monnaie nationale sont déjà très concrètes. La hausse des prix approche déjà 10% sur un an et promet de s'envoler encore. Les autorités ont notamment vu ces derniers jours réapparaître les étiquettes en devises étrangères dans certains magasins, des étiquettes fréquentes dans les années 1990. Cette valse des prix provoque une fièvre d’achats, certains Russes se pressant pour acheter du matériel électronique, meubles ou même voitures avant de voir leurs prix flamber.La Russie est aussi confrontée à un départ des capitaux : 128 milliards de dollars (103 milliards d’euros) se sont "envolés" en 2014, selon la Banque centrale de Russie (BCR).
Cette chute du rouble corrélée à la baisse du prix du pétrole a également eu des conséquences en France et en Allemagne. Signe de l’inquiétude des investisseurs, les actifs les plus sûrs comme les dettes des Etats connaissent une forte demande. Les taux d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne (0,601%) et de la France (0,877%) ont ainsi touché mardi de nouveaux plus bas historiques sur le marché obligataire.
3. Que peut faire la Russie ?
Le gouvernement russe est déjà passé à l’action. Dans la nuit de lundi à mardi, il a, fait exceptionnel, augmenté de 6,5 points son taux directeur à 17%, contre 10,5% auparavant et 5,5% au début de l'année. "Cela n’a eu aucune efficacité mardi puisque le rouble a encore plus chuté que lundi, juge Jacques Sapir. Et même si la Russie augmente encore son taux, cela ne changera rien car les spéculateurs pourront continuer à spéculer contre le rouble".Le site Lenta.ru, a d’ailleurs calculé qu’avec un taux directeur à 17%, un crédit immobilier sera ainsi désormais accordé avec un taux d'au moins 22%, un niveau difficile à tenir par des ménages au pouvoir d'achat malmené par la hausse des prix.
Dans ce contexte, l'idée d'introduire des restrictions sur les mouvements de capitaux est de plus en plus évoquée. "C’est la meilleure solution même si cela peut avoir un coût politique", répond Jacques Sapir. "C’est un peu la dernière arme qu’il reste à la Russie mais ce n’est pas un très bon signal car c’est un message de fermeture et cela ne redonnera pas confiance en la monnaie russe", souligne François Chevallier.
Autre hypothèse : faire intervenir la Banque centrale de Chine. "La Banque centrale de Russie peut s’entendre avec la Banque centrale de Chine et injecter d’énormes quantités de dollars, c’est-à-dire entre 100 et 120 milliards de dollars en quelques semaines, imagine Jacques Sapir. Elle prendrait alors les spéculateurs à contrepied et leur ferait perdre beaucoup d’argent. C’est toutefois peu probable car le gouvernement russe n’acceptera sans doute pas de se mettre dans la main des Chinois".
Vladimir Poutine devrait apporter un début de réponse à ces questions jeudi. Le chef de l'Etat russe doit passer un grand oral devant des centaines de journalistes russes et étrangers qui devrait faire la part belle à la situation économique.
Les raisons de la dégringolade des Bourses mondiales
Le Monde.fr |
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Par Audrey Tonnelier
Rien ne semble pouvoir arrêter la chute des marchés. Les grandes Bourses mondiales étaient toutes orientées à la baisse, mardi 16 décembre au matin, dans un rare mouvement d’ensemble.
En recul pour le septième jour d’affilée, le CAC 40, à Paris, a même franchi à la baisse le seuil symbolique des 4 000 points, en début de matinée. Un niveau qu’il n’avait plus atteint depuis la mi-octobre.De Londres à Moscou en passant par Francfort, toutes les places européennes reculaient, imitant celles du Japon et du Moyen-Orient.
Craintes pour l’Europe, incertitudes en Grèce, économie russe malmenée, chute du pétrole : à deux semaines de la fin de l’année, la conjonction de ces éléments crée un cocktail détonnant sur les marchés mondiaux.
- La croissance mondiale dans la tourmente
Même si le rythme est beaucoup plus lent que les mois précédents grâce au secteur des services, les investisseurs voient le verre à moitié vide. Ils sont de nouveau très pessimistes sur les perspectives de croissance en zone euro, où la menace déflationniste semble chaque jour un peu plus proche.
Un pays a par ailleurs mis le feu aux poudres : la Grèce, entré dans une nouvelle période d’instabilité politique après que le premier ministre conservateur, Antonis Samaras, a décidé de convoquer des élections présidentielles anticipées, pour mercredi 17 décembre.
Les marchés craignent, dans cette hypothèse, un détricotage des mesures de réforme entreprises depuis 2010, en échange de 240 milliards d’euros de prêts à la Grèce par ses créanciers internationaux. Et un réveil des vieux démons de la crise des dettes souveraines de 2010-2011.
Pour ne rien arranger, le ralentissement du moteur chinois, déjà reflété par de mauvais indicateurs la semaine dernière, semble se poursuivre : sa production manufacturière (l’indice PMI des directeurs d’achats de la banque HSBC) s’est contractée en décembre, touchant son plus bas en sept mois.
- Le pétrole en chute libre
C’est l’annonce d’une contraction de la production manufacturière chinoise en décembre qui a déclenché cette nouvelle baisse.
Les cours de l’or noir ont plongé de près de moitié depuis le début de l’année, plombés par une offre surabondante et une croissance de la demande faible : le moteur chinois n’en finit pas de ralentir, tandis que les pays producteurs, OPEP en tête, refusent de réduire leur production afin de préserver leurs précieux pétrodollars.
À moyen terme, cette décrue devrait s’avérer bénéfique pour les entreprises, en dopant leurs marges, et pour les consommateurs, qui regagneront un peu de pouvoir d’achat. Mais, dans l’immédiat, les intervenants y voient le reflet de l’anémie de la croissance mondiale.
De plus, ils sont forcés de se couvrir contre ces fluctuations inopinées en vendant d’autres types d’actifs, ce qui alimente le cercle vicieux du plongeon des marchés.
- La Russie bat de l’aile
La monnaie russe avait perdu lundi près de 10 % de sa valeur, un plongeon d’une ampleur plus vue depuis la période suivant le placement de la Russie en défaut de paiement en 1998.
La banque centrale avait réagi en annonçant une hausse spectaculaire de son taux directeur, à 17 % contre 10,5 % auparavant en plein milieu de la nuit. L’économie russe pâtit des sanctions économiques liées à la crise ukrainienne et de la chute des cours du pétrole.
- La semaine à haut risque
Autre explication : l’attentisme des intervenants. Mercredi est en effet une date à haut risque : c’est le jour de la réunion du comité de politique monétaire (FOMC) de la banque centrale américaine (Fed), et celui des élections en Grèce.
« Comme la semaine est très chargée, la prudence l’emporte à un moment où les investisseurs refusent d’acheter et donc de prendre des risques, à deux semaines de la fin de l’année » confirme Aurel BGC.
-
Audrey Tonnelier
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